fph

en - fr - es - zh

 

HOME PAGE

 

The Proposal

 

Your answers to the questionnaire

   

by author

   

by date

   

on the idea of the Alliance

   

on the spirit of the Charter

   

on the Constituent Charter

   

on the working procedures

   

on the calendar

   

on your possible participation

   

Other answers

 

ONLINE QUESTIONNAIRE

 

Analytical Summaries


Hervé Maillot

Allié. France


His or her answers to the questionnaire

... Your answers to the questionnaire
| 11 May 2005 | fr |

Dans une immense majorité (voir graphiques quantitatifs), l’idée d’Alliance et le projet de Charte constitutive trouvent un écho allant de favorable à enthousiaste parmi les alliés témoins ou acteurs de la première étape de l’Alliance, aussi bien qu’auprès des personnes non encore engagées dans l’Alliance. Il en va de même pour les dispositifs de travail et le calendrier.

Des réponses expriment par ailleurs des points de désaccord ou des critiques sur le texte de la Charte, ces mêmes dispositifs de travail et ce calendrier ; tantôt rendant compte d’oppositions de points de vue entre participants ; tantôt témoignant de doutes ou de besoins de précisions sur divers aspects de la proposition.

Le texte de la Charte est parfois vu comme trop théorique et trop général. Cette impression se retrouve chez les participants qui souhaitent que des dossiers prioritaires soient nettement mis en avant dans la Charte ou que des événements ou échéances bien identifiés rythment le calendrier. Des points de vue opposés ressortent de cette série de réponses. Une opposition concerne l’influence de la fph sur la définition des règles de fonctionnement et le futur de l’Alliance : ici, la fph est ressentie trop directive ; là, elle est au contraire encouragée à poursuivre dans la voie qu’elle veut suivre. A noter qu’un nombre non négligeable de participants donnent l’impression de s’adresser d’abord à la fph. Une deuxième opposition concerne l’échelle à laquelle le projet de Charte se situe : au doute que l’approche mondiale de l’Alliance réponde aux enjeux actuels, à l’impression que la Charte est utopique et à la certitude que le besoin prioritaire est de travailler localement, est renvoyée la volonté d’inventer un modèle de société mondiale.

Une troisième opposition réside dans la perception de l’Alliance comme réseau. Ce réseau est souhaité ouvert à la multitude, pourvu qu’on rassemble celle-ci sous une identité commune. Ou bien celui-ci est souhaité plus dédié aux organisations expérimentées et engagées de façon significative. Certaines réponses mettent en évidence un besoin de préciser les rôles, le fonctionnement, le choix des membres des différents groupes et comités d’animation, de suivi et de gestion de l’Alliance.

Enfin, certaines réponses traduisent une vigilance et un besoin de clarté sur certains aspects éthiques. Vigilance sur le caractère démocratique des processus de décision au sein de l’Alliance ; besoin de clarifier la méthode (comment) et les moyens (qui) de restitution de la mémoire collective.

0 reaction(s) |

... Your answers to the questionnaire
| 11 May 2005 | en |

For an enormous majority (see quantitative diagrams presented on the Analytical Summaries page), the idea of the Alliance and the Constituent Charter project has been favorably to enthusiastically received, by Allies who were witnesses or actors in the first stage of the Alliance, as well as by persons not yet committed to the Alliance. The same is true for the working procedures and the calendar.

Otherwise, a few answers express some disagreement or criticism of the Charter text, the working procedures, and the calendar; some participants express completely opposite points of view; some participants manifest a few doubts or their need for more details on different aspects of the proposal.

The text of the Charter is sometimes seen as too theoretical and too general. This is the impression of participants wishing that a few important objectives be given distinct priority in the Charter or that well-identified events or deadlines be highlighted in the calendar. This series of answers has produced opposite points of view. One of the oppositions has to do with the influence of the FPH on the definition of the working rules and the future of the Alliance: some see the FPH as too overbearing; others encourage it, on the contrary, to follow the path that it wishes to follow. It should be observed that a non-negligible number of participants give the impression that they are primarily addressing the FPH. There is a second opposition regarding the scale at which the Charter project is placed: while some doubt that the global approach of the Alliance meets the present challenges, feel that the Charter is Utopian, or assert that what is important is to work locally, others affirm their determination to invent a model of global society.

A third opposition lies in the perception of the Alliance as a network. This network, some declare, should be open to all, provided that a common identity is shared. Others, instead, think it should be more exclusive to significantly experienced and committed organizations. Some of the answers show that a need is felt to specify the roles, how things work, and how members are chosen for the different groups and committees set up for the facilitation, follow-up, and management of the Alliance.

Finally, a few answers express vigilance and a need for clarity on some of the ethical aspects. Vigilance on the democratic nature of the decision processes within the Alliance; need to clarify the method (how) and the means (who) for restoring the collective memory.

0 reaction(s) |

... Your answers to the questionnaire
| 12 May 2005 | es |

Una enorme mayoría (ver los diagramas cuantitativos presentados en la página Síntesis), ha recibido favorable y hasta entusiásticamente la idea de la Alianza y el proyecto de la Carta Constitutiva, sean Aliados que han sido testigos o actores en la primera fase del Alianza, o personas aún no comprometidas en la Alianza. Lo mismo es cierto en cuanto a los dispositivos de trabajo y el calendario.

Por otra parte, unas respuestas expresan discordancia o crítica con respecto al texto de la Carta, los dispositivos de trabajo, y el calendario; algunos participantes manifiestan puntos de vista completamente opuestos; algunos participantes exponen dudas o necesidad de más detalles sobre diferentes aspectos de la propuesta.

Se ve a veces el texto de la Carta como demasiado teórico y demasiado general. Ésta es la impresión de participantes que desean que a ciertos objetivos importantes se les de prioridad particular en la Carta o que en el calendario se resalten ciertos eventos o fechas límite bien identificados. Este conjunto de respuestas ha producido puntos de vista opuestos. Una de las oposiciones tiene que ver con la influencia de la FPH en la definición de las reglas de trabajo y el futuro de la Alianza: algunos ven a la FPH como demasiado directiva; otros la animan, al contrario, a seguir el camino que desee. Debe observarse que bastantes participantes dan la impresión que se están dirigiendo principalmente a la FPH. Hay una segunda oposición con respecto a la escala en que el proyecto de la Carta se ubica: mientras algunos dudan que el enfoque mundial de la Alianza esté a la altura de los desafíos actuales, sienten que la Carta es utópica, o afirman que lo que es importante es trabajar localmente, otros declaran su voluntad de inventar un modelo de sociedad mundial.

Una tercera oposición reside en la percepción de la Alianza como red. Esta red, declaran algunos, debe ser abierta a todos, con tal de que se comparta una identidad común. Otros, en cambio, piensan que debe ser más exclusiva a organizaciones claramente experimentadas y comprometidas. Algunas de las respuestas muestran que se siente una necesidad de especificar los roles, el funcionamiento, y cómo se escogen los miembros para los diferentes grupos y comités que se establecerán para la facilitación, el seguimiento, y la gestión de la Alianza.

Por fin, unas respuestas expresan vigilancia y una necesidad de claridad en cuanto a algunos aspectos éticos. Vigilancia sobre la naturaleza democrática del proceso de toma de decisiones dentro de la Alianza; necesidad de clarificar el método (cómo) y los medios (quién) de restitución de la memoria colectiva.

0 reaction(s) |

... Your answers to the questionnaire
| 20 May 2005 | fr |

Pour un regard extérieur, la principale information au mitan de la consultation est que 50 personnes sur plus de 6500 alliés et non alliés sollicités ont répondu au questionnaire : la participation est inférieure à 0.7%.

Les réponses plébiscitent l’Alliance comme lieu d’expression, d’échanges, de conscientisation, de fraternité, de reliance. La plupart d’entre elles souligne la nécessité et l’urgence d’un tel lieu pour contrer d’innombrables processus de déliaison locaux et globaux.

Il apparaît ensuite que dans son fonctionnement et son activité actuels l’Alliance ne rencontre pas toujours les attentes de ses membres : le mot "concret" revient maintes fois dans les réponses. Il renvoie à la volonté de s’attaquer aux "vrais problèmes" (sociaux, écologiques, démographiques, alimentaires, économiques, etc.), au désir d’action de terrain, au besoin ressenti de cibler des objectifs précis. La proposition de Charte constitutive est souvent considérée trop "théorique", "floue", "conceptuelle" et pour les participants, "concret" signifie :
- une Charte proposant des règles qui organisent et favorisent l’action, augmentent l’impact de l’Alliance, assoient sa légitimité et intensifient la diffusion de ce qu’elle promeut.
- des dispositifs de travail favorisant les initiatives locales et des processus "bottom-up" de création d’une communauté mondiale.
- un agenda proposant une vision stratégique et un calendrier proposant des événements qui instituent cette communauté.

"It is only by accepting reality that we will be able to change it." Cet extrait de réponse illustre un souci partagé, notamment en ce qui concerne la stratégie de communication de l’Alliance, son positionnement officiel et médiatisé, sa légitimité et son poids dans le courant altermondialiste. Et des participants se demandent alors pourquoi ne pas s’inspirer de ce qui a fait le succès et la notoriété d’événements ou d’organisations comme les FSM ou ATTAC.

Enfin, de nombreuses réponses laissent une impression de confusion dans la vision qu’ont certains participants des relations entre la fph et l’Alliance. Chez les uns ces deux entités semblent inextricablement liées, presque fusionnées. Chez d’autres pointe le désir de faire évoluer la nature quelque peu monoparentale de l’Alliance.

0 reaction(s) |

... Your answers to the questionnaire
| 20 May 2005 | es |

Desde un punto de vista exterior, la información principal a mediadas de la consulta es que 50 personas sobre los más de 6500 aliados y no aliados solicitados han respondido al cuestionario: la participación es inferior a 0.7%.

Las respuestas plebiscitan a la Alianza como lugar de expresión, de intercambio, de conscientización, de fraternidad, de re-enlace. La mayor parte de ellas insisten en la necesidad y la urgencia de un lugar como éste para contrarrestar los innumerables procesos de desenlace locales y mundiales.

Aparece luego que en su funcionamiento y su actividad actuales, la Alianza no siempre satisface las expectativas de sus miembros: la palabra "concreto" aparece a menudo en las respuestas. Se refiere a la voluntad de atacarse a los "problemas verdaderos" (sociales, ecológicos, demográficos, de alimentación, económicos, etc.), al deseo de acción de terreno, a la necesidad sentida de alcanzar objetivos precisos. A menudo, se considera la propuesta de la Carta Constitutiva como demasiado "teórica", "vaga", "conceptual", y para los participantes, "concreto" significa:
- una Carta que propone reglas que organizan y favorecen la acción, aumentan el impacto de la Alianza, confirman su legitimidad e intensifican la difusión de lo que promueve;
- dispositivos de trabajo que favorecen las iniciativas locales y procesos "bottom-up" de creación de una comunidad mundial;
- una agenda que propone una visión estratégica y un calendario que propone eventos que instituyan a esta comunidad.

"It is only by accepting reality that we will be able to change it." Este extracto de respuesta ilustra una preocupación compartida en lo que se refiere a la estrategia de comunicación de la Alianza, su postura oficial y pública, su legitimidad y su peso en la corriente altermundialista. Y algunos participantes se preguntan entonces porqué no inspirarse de lo que hizo el éxito y la notoriedad de eventos o de organizaciones como el FSM o ATTAC.

Para terminar, muchas respuestas dejan una impresión de confusión en la visión que tienen ciertos participantes de las relaciones entre la FPH y la Alianza. Para unos, las dos entidades parecen estar inextricablemente ligadas, casi fusionadas. Para otros, surge el deseo de hacer cambiar la naturaleza algo monoparental de la Alianza.

0 reaction(s) |

... Your answers to the questionnaire
| 20 May 2005 | en |

From an outside point of view, the main information midway through the consultation is that 50 persons out of the more than 6,500 Allies and non Allies that were addressed have answered the questionnaire: the participation rate is under 0.7%.

The answers overwhelmingly approve the Alliance as place of expression, sharing, awareness raising, brotherhood, and connection. Most of them emphasize the extreme need for such a place to counter the innumerable local and global fragmentation processes.

It then appears that in its current activity the Alliance does not always meet the expectations of its members: the word "concrete" frequently comes up in the answers. It refers to the desire to tackle the "real problems" (social, environmental, demographic, food, economic, etc.), the desire for action on the field, to the need that is felt to target specific objectives. The Constituent Charter proposal is often seen as too "theoretical," "fuzzy," or "conceptual" and for the participants, "concrete" means:
- a Charter that proposes rules to organize and encourage action, to increase the impact of the Alliance, to enforce its legitimacy, and to intensify the circulation of what it promotes;
- working procedures that encourage local initiatives and bottom-up processes to build a global community;
- an agenda that offers a strategic vision and a calendar that proposes events that will institute this community.

"It is only by accepting reality that we will be able to change it." This excerpt from an answer illustrates a shared concern, among others with regard to the Alliance’s communication strategy, its official and public positioning, its legitimacy, and its importance in the alterglobalist movement. And some participants then wonder: why not take inspiration from what brought about the success and the celebrity of events or organizations such as the WSF or ATTAC?

Finally, many answers give an impression of confusion in the view that some participants have of the relations between the FPH and the Alliance. For some, the two entities seem inextricably linked, almost merged. Others express the wish for a change in the somewhat single-parent nature of the Alliance.

0 reaction(s) |

... Your answers to the questionnaire
| 8 June 2005 | fr |

Un gros mois après la mise en ligne du site web, les éléments qui ressortent nettement de la consultation sont les suivants :

- les réponses sont très massivement favorables au projet de Charte constitutive avec 87 pour cent d’adhésion totale (le restant des réponses ayant un contenu plus ou moins critique mais jamais en opposition complète).
- Le nombre de réponses est faible en proportion du nombre de personnes sollicitées : moins de 2 pour cent de participation.
- Les désaccords, les incompréhensions, les interrogations exprimés sont à la fois peu nombreux et très largement partagés par ceux qui les expriment (entre 10 et 22 pour cent des participants selon la question abordée).

1- L’adhésion au projet : l’idée d’Alliance et le projet de Charte sont en adéquation profonde avec le ressenti des participants. Tous expriment la nécessité et l’urgence de se rassembler, de s’interconnecter, pour travailler à l’émergence d’alternatives à l’évolution du monde. Les réponses montrent combien le constat, le refus et la conviction mentionnés dans le paragraphe "Objectifs de l’Alliance" du texte de la Charte et sur lesquels repose l’engagement des alliés sont bien le constat, le refus et la conviction des participants. Même convergence de vue en ce qui concerne la nature de l’Alliance. Cinq des sept aspects décrivant ce qu’est l’Alliance recoupent parfaitement les propos des alliés et amis. Seuls les points concernant d’une part la vision d’une communauté mondiale à construire et d’autre part la matrice ou centre névralgique de l’Alliance qu’est le site web posent problème (voir le point 3- ci-dessous).

2- La très faible participation à la consultation : le nombre de réponses peut interroger et la question de leur représentativité peut se poser. Un regard extérieur ne saurait aborder cette question en équipondérant a priori chacune des réponses et chacun des silences. Et sans doute faut-il pondérer ces réponses et ces absences de réponses en fonction des liens qui unissent à l’Alliance les personnes sollicitées et du niveau d’engagement de ces dernières dans le processus/projet collectif qu’est l’Alliance.

3- Les désaccords, les incompréhensions, les interrogations : Ceux-ci révèlent et illustrent plus ou moins fortement des "contradictions concrètes à surmonter par l’Alliance à l’issue de la première étape" (paragraphe 4 du document décrivant la position de la FPH). Ils semblent dire que les arbitrages et/ou innovations proposés par la Charte pour résoudre ces contradictions ne répondent pas aux attentes de ceux qui les expriment.

3.1- Sur les différences/divergences des motivations alliées. On observe le clivage entre une vision structurante appelant à investir dans l’organisationnel et le fonctionnel et une vision agissante voire militante se focalisant sur l’opérationnel. Des oppositions sémantiques illustrent ce clivage : abstrait/concret, futur/présent, global/local, réflexion/action. C’est un peu comme si les uns, vus comme privilégiant le bureau des méthodes n’étaient pas à l’unisson avec d’autres perçus comme voulant se concentrer sur le terrain. Quoi qu’il en soit l’appel aux "résultats" est collectif. Certains parlent de pression à exercer sur les "décideurs" et même d’actions de lobbying. Enfin des divergences concernent la question de la construction d’une communauté mondiale : objectif préalable chez les uns, résultat final d’une construction allant du local au global chez les autres. On peut noter qu’aucune réponse n’envisage simultanément et complémentairement ces deux approches.

3.2- Sur le caractère informel de l’Alliance. Un point sur lequel un certain nombre d’alliés se retrouve est celui des faibles lisibilité et visibilité de l’Alliance, de son absence de stratégie de communication, de sa distance aux média. Le désir d’institutionaliser l’Alliance pour lui permettre de peser d’une manière ou d’une autre sur les instances internationales est clairement exprimé. Mais d’autres participants privilégient l’ouverture et l’absence de "voix commune" qui particularise l’Alliance.

3.3- Sur les relations entre la FPH et l’Alliance. Pour beaucoup de participants, FPH et Alliance sont indissociées. A La FPH sont attribués un statut d’allié unique et un pouvoir particulier. Cela pose problème à un certain nombre d’alliés, lorsque leurs objectifs, les missions qu’ils se donnent, les choix stratégiques qu’ils appellent, ne rencontrent pas les préoccupations et les orientations de la Fondation. Certains participants attendent de l’Alliance qu’elle soit non seulement un lieu d’échanges et un vivier d’idées mais aussi un outil d’accompagnement (y compris financier) pour des alliés impliqués dans l’action, ce qui renvoie au désir d’un soutien à projets ponctuels, thématiquement et géoculturellement circonscrits.

3.4- Sur les groupes et comités de suivi et d’animation de l’Alliance. Pas de vrais désaccords à ce sujet. Seulement des interrogations et besoins d’éclaircissements. Voir la synthèse qualitative du 11 mai.

3.5- Sur le web et son usage. L’importance du web dans le processus collectif qu’est l’Alliance semble exclure de fait des alliés (nombreux ?) ne bénéficiant pas de la technologie requise. Une réponse évoque les deux milliards d’êtres humains qui vivent sans éléctricité domestique.

0 reaction(s) |

... Your answers to the questionnaire
| 8 June 2005 | en |

Somewhat more than a month after the the Web site was set up for this consultation, the following elements have appeared distinctly:

- The answers are massively favorable to the Constituent Charter project with total approval at 87 percent (the rest of the answers being more-or-less critical but never in complete opposition).
- The number of answers is low in proportion to the number of persons addressed, with participation at less than 2 percent.
- Expressed positions of disagreement, incomprehension, and/or questioning are both not very numerous and extensively shared by those who express them (between 10 and 22 percent of participants, depending on the question).

1 - Approval of the project: the idea of the Alliance and the Charter project deeply reflect what participants feel. All of them express the need and the emergency to come together and interconnect to work on the emergence of alternatives to the evolution of the world. The answers show how much the finding, rejection, and conviction mentioned in the paragraph "Objectives of the Alliance" of the Charter proposal, on which the Allies’ involvement is actually based, are, in fact, the finding, rejection, and conviction of the participants. The same convergence of views applies to the nature of the Alliance. Five of the seven aspects describing what the Alliance is are in perfect keeping with the words of Allies, friends, and associates. Only the points dealing the vision of a global community to be built, on the one hand, and on the other hand the matrix, or nervous center of the Alliance that is represented by the Web site are problematic (see Point 3 below).

2 - The very low participation rate in the consultation: The number of answers raises questions and begs the issue of their representativeness. An outside look cannot viably consider this question through an equiponderance of the answers and the silences. It is probably necessary to ponder the answers and absence of answers according to the links to the Alliance of the persons who were addressed and of their level of involvement in the collective process/project of the Alliance.

3 - Expressions of disagreement, incomprehension, questioning: These reveal and illustrate to varying degrees "the specific contradictions that need to be overcome by the Alliance as it moves out of its first stage" (described in Paragraph 4 of the document on the position of the FPH). They seem to indicate that the arbitrations and/or innovations proposed by the Charter to solve these contradictions do not meet the expectations of those who express them.

3.1 - On the differences/divergences of motivation among the Allies. We observe a cleavage between a structuring vision calling to invest in the organizational and operational and an acting,or even activist vision, polarizing focusing on the operational. The cleavage is illustrated by semantic oppositions: abstract/tangible, future/present, global/local, thinking/action. It is in a way as if some, seen as favoring a methods office, were not in accordance with others, perceived as wishing to concentrate on the field. In any case, the call for "results" is collective. Some speak of pressure to be exercised on "decision makers" and even of lobbying actions. Finally, some of the divergences have to do with the issue of building a global community: a preliminary objective for some, the final result of the active construction from the local to the global for others. It should be noted that no answer considers these two approaches as simultaneous and complementary.

3.2 - On the informal nature of the Alliance. A point on which a number of Allies agree is that of the deficient readability and visibility of the Alliance, its absence of a communication strategy, its distance from the media. The desire to institutionalize the Alliance so it may weigh in one way or another on the international bodies is clearly expressed. But other participants favor the openness and absence of a "common voice" that characterize the Alliance.

3.3 - On the relations between the FPH and the Alliance. For many participants, the FPH and the Alliance are not dissociated. The FPH is assigned a unique Ally status and particular power. This poses a problem for a number of Allies, when their objectives, the missions that they set out for themselves, and the strategic choices that they call do not match the Foundation’s concerns and guidelines. Some participants expect the Alliance to be not only a place for sharing and a pool of ideas but also an instrument of continued support (including financial) for Allies involved in action, which refers to the wish for the backing of specific, thematically and geoculturally circumscribed projects.

3.4 - On the groups and follow-up committees and the facilitation of the Alliance. No real disagreement on this subject. Only some questions and requests for clarification. See the qualitative summary of May 11.

3.5 - On the web and its use. The importance of the Internet in the collective process that is the Alliance seems to exclude the fact that (many?) Allies do not have the needed technology. One answer recalls that two billion human beings have no access to electricity.

0 reaction(s) |

... Your answers to the questionnaire
| 8 June 2005 | es |

Después de un mes largo de haber lanzado el sitio web, estos son los elementos que destacan en la consulta :

- Las respuestas son masivamente favorables al proyecto de Carta Constitutiva, con un 87 por ciento de adhesión total (las respuestas restantes contienen un grado mayor o menor de crítica pero nunca una oposición total)
- El número de respuestas es flojo en proporción con el número de personas solicitadas: menos del 2 por ciento de participación.
- Los desacuerdos, las incomprensiones, las interrogaciones expuestas son al mismo tiempo pocas, y ampliamente compartidas por las personas que las exponen (entre un 10 y un 22 por ciento de los participantes según la pregunta)

1 - La adhesión al proyecto: la idea de Alianza y el proyecto de Carta se adaptan plenamente al sentimiento de los participantes. Todos expresan la necesidad y la urgencia de encontrarse, de interconectarse, para trabajar en hacer surgir alternativas a la evolución del mundo. Las respuestas muestran a qué nivel la constatación, el rechazo y la convicción mencionadas en el párrafo “objetivos de la Alianza” del texto de la Carta, sobre las cuales se sostiene el compromiso de los aliados, corresponden a la constatación, el rechazo y la convicción de los participantes. La misma convergencia se da respecto a la naturaleza de la Alianza. De los siete aspectos que describen la Alianza, cinco coinciden exactamente con los propósitos de aliados y amigos. Solamente los puntos que tienen que ver, por un lado, con la visión de la comunidad mundial que hay que construir, y por otro, con el sitio web como matriz o centro neurálgico de la Alianza, han sido cuestionados (ver punto 3 debajo)

2- La participación floja en la consulta: el número de respuestas puede dar que pensar, y se puede plantear la cuestión de su representatividad. Un observador exterior no podría, al abordar este problema, ser capaz de ponderar cada respuesta con cada silencio. Sin duda, esta ponderación de respuestas y ausencia de respuestas, tiene que ver con los vínculos que las personas solicitadas tienen con la alianza y con su nivel de implicación en el proceso / proyecto colectivo de la Alianza.

3- Los desacuerdos, las incomprensiones, las dudas: Todos ellos revelan e ilustran con mayor o menor intensidad las “contradicciones concretas que la Alianza ha de superar al final de la primera etapa” (párrafo 4 del documento que describe la posición de la FPH). Parecen expresar que los arbitrios y / o innovaciones propuestas por la Carta, para resolver estas contradicciones, no responden a las expectativas existentes.

3.1- Sobre las diferencias / divergencias de las motivaciones aliadas Se observa el desfase entre una visión de estructuración que prefiere trabajar en el plano de la organización y de la funcionalidad, y una visión de acción o militante, que se orienta hacia un trabajo más operativo. Algunas oposiciones semánticas ilustran este desfase: abstracto / concreto, futuro / presente, global / local, reflexión / acción. Es un poco como si para algunos, que parecen privilegiar la metodología, estuvieran mal sintonizados con otros, que parecen concentrarse sobre el terreno. En cualquier caso, hay una demanda común de “resultados”. Algunos hablan de presionar los responsables de tomar decisiones e incluso de acciones de lobbying. Finalmente, algunas divergencias aparecen sobre la cuestión de la construcción de una comunidad mundial: se trata de un objetivo prioritario para unos, y para otros, del resultado final de una construcción que va de lo local a lo global. Cabe destacar la ausencia de respuestas que consideren estos dos enfoques como simultáneos y complementarios.

3.2- Sobre el carácter informal de la Alianza Un elemento sobre el que no pocos aliados se sienten identificados, es el de la floja comprensión y visibilidad de la Alianza, la falta de estrategia de comunicación, la distancia respecto a los medios de comunicación. Se ha expuesto un interés en institucionalizar la Alianza para que pueda ganar peso ante las instancias internacionales. Pero otros participantes privilegian la abertura y el no construir una “voz común” específica de toda la Alianza.

3.3- Sobre las relaciones entre la FPH y la Alianza Para muchos participantes, la FPH y la Alianza son inseparables. A la FPH se le atribuye un estatuto de aliado único, y un poder particular. Este hecho constituye, para no pocos aliados, un problema, sobretodo si sus objetivos, misiones y estrategias no corresponden a las preocupaciones y orientaciones de la Fundación. Algunos participantes esperan que la Alianza no sea solamente un espacio de intercambios y un laboratorio de ideas sino también un mecanismo de acompañamiento (incluyendo a nivel financiero) para los alidos que se implican en la acción, lo que lleva a un deseo de apoyar proyectos puntuales, temática y geoculturalmente circunscritos.

3.4- Sobre los grupos y comités de seguimiento y de animación de la Alianza Sobre este tema no se observan desacuerdos importantes. Solamente dudas y necesidad de aclaraciones. Ver la síntesis del 11 de mayo.

3.5- Sobre internet y su uso. La importancia de internet en el proceso colectivo de la Alianza, parece excluir de hecho a los (¿numerosos?) aliados que no disfrutan de la tecnología necesaria. Una respuesta recuerda que hay dos mil millones de seres humanos sin electricidad doméstica.

0 reaction(s) |

... Your answers to the questionnaire
| 4 July 2005 | fr |

Ce rapport se base sur 130 réponses reçues (dont 116 sont en ligne le 10 juin). Les éléments qui ressortent aujourd’hui nettement de la consultation sont les suivants :

- Le nombre de réponses est faible en proportion du nombre de personnes sollicitées : moins de 3 pour cent de participation.
- Les réponses sont très massivement favorables au projet de Charte constitutive avec un très fort pourcentage d’adhésion totale (le restant des réponses ayant un contenu plus ou moins critique mais jamais en opposition complète).
- Les désaccords, les incompréhensions, les interrogations exprimés sont à la fois peu nombreux et très largement partagés par ceux qui les expriment (entre 10 et 20 pour cent environ des participants selon la question abordée).

Le très faible nombre de réponses peut interroger et la question de la représentativité peut se poser. Un regard extérieur ne saurait aborder cette question en équipondérant a priori chaque réponse et chaque silence. Et sans doute faut-il pondérer ces réponses et ces absences de réponses en fonction des liens qui unissent à l’Alliance les personnes sollicitées et du niveau d’engagement (intensité, antériorité) de ces dernières dans le processus/projet collectif qu’est l’Alliance.

Cependant de nouvelles réponses arrivent régulièrement. Si l’on tient compte de l’inertie du processus de consultation on peut envisager un total de quelques centaines de réponses d’ici au mois de septembre. Ce rapport pourrait alors être vu comme un bilan à mi parcours.

Ci-dessous des citations viennent illustrer la synthèse qualitative. Elles ont été choisies pour leur capacité à exprimer un ressenti partagé et à être suffisamment représentative d’une réflexion qui existe au-dela d’un très vaste ``oui au projet’’.

L’adhésion au projet.

L’idée d’Alliance et le projet de Charte sont en adéquation profonde avec le ressenti des participants. Extraits...
Sur les motivations de la FPH :

...la volonté de prendre au sérieux ce que chacun apporte, en organiser la mémoire, la capitalisation et la restitution fait de la Fondation un instrument irremplaçable...


Sur la pertinence de l’Alliance :

...Yes as the complexity of the today’s world requires a collective and coherent action...

Ou encore

...Etablir une communication permanente avec toutes associations ayant les mêmes finalités...


Sur la Charte :

...Elle contient et représente les fondements nécessaires à la saine prolongation des activités, des utopies, des rêves communs à lancer dans la réalité pour construire des lendemains sensés, raisonnables, soutenables, pluriels...

Un même coeur et un même choeur expriment la nécessité et l’urgence de se rassembler, de s’interconnecter, pour travailler à l’émergence d’alternatives à l’évolution du monde. Les réponses montrent combien le constat, le refus et la conviction mentionnés dans le paragraphe "Objectifs de l’Alliance" du texte de la Charte et sur lesquels repose l’engagement des alliés sont bien le constat, le refus et la conviction des participants.

Même convergence de vue en ce qui concerne la nature de l’Alliance. Cinq des sept aspects décrivant ce qu’est l’Alliance recoupent parfaitement les propos des alliés et amis. Seuls les points concernant d’une part la vision d’une communauté mondiale à construire et d’autre part la matrice ou centre névralgique de l’Alliance qu’est le site web posent problème (voir le paragraphe suivant).

Ce qui fait débat.

...Je crois que la grande justification de l’Alliance est qu’il existe aujourd’hui un "citoyen du monde" qui peut peser, en tant que tel, sur le destin de l’humanité. Toute la question est de savoir COMMENT...

Cet extrait de réponse résume parfaitement le débat que la consultation met à jour : s’il y a accord quasi total sur le pourquoi, les alliés ne sont pas à l’unisson sur le comment.

L’initiative du projet de Charte.

Puisque la consultation porte sur le contenu de la Charte notons d’abord que deux avis s’opposent à son sujet. Un point de vue exprime des désaccords, des incompréhensions, des interrogations qui révèlent et illustrent plus ou moins fortement des

contradictions concrètes à surmonter par l’Alliance à l’issue de la première étape

(paragraphe 4 du document décrivant la position de la FPH). Ce point de vue semble dire que les arbitrages et/ou innovations proposés par la Charte pour résoudre ces contradictions ne répondent pas aux attentes de ceux qui les expriment :

...la FPH ne semble pas tirer parti des tensions nées dans le passé sur la gouvernance de l’Alliance. La Charte constituante est un document qui est présenté comme à prendre ou à laisser ; alors qu’on pourrait la concevoir comme document de départ d’un mouvement...

. A l’opposé on peut lire

...I must say that this constituent charter is a good effort and incorporates several suggestions made at Mumbai and Porto Allegre...

.

Les relations entre la FPH et l’Alliance.

Un participant pense que les dispositifs de travail

...Devraient distinguer ce qui est du ressort de la gouvernance de l’Alliance de ce qui est du "programme de travail" des alliés...

. Cette confusion ressentie se retrouve aussi dans les désaccords exprimés et dans leurs argumentaires : la tension née de la difficulté à bien poser l’équation gouvernance-organigramme-décision-programme est perceptible. Il semble que cette confusion provient de la relation qui unit la FPH à l’Alliance. Pour beaucoup de participants, FPH et Alliance sont indissociées. La FPH possède un statut d’allié unique et un pouvoir particulier : pouvoir pour pour les uns, pouvoir sur pour d’autres. Financeur et mère de l’Alliance, telle est la FPH. Forte de son indépendance et de sa souveraineté, telle est-elle (veut-elle être) aussi. Cela est bien compris, nul ne semblant ignorer la définition qu’elle donne d’elle même sur la page d’accueil de son site :

Une Fondation indépendante qui soutient l’émergence d’une communauté mondiale

. Mais cela pose problème aux alliés dont les objectifs, les missions, les choix stratégiques souhaités ne rencontrent pas les préoccupations et les orientations de la Fondation. Certains participants attendent de l’Alliance qu’elle soit non seulement un lieu d’échanges et un vivier d’idées mais aussi un outil d’accompagnement (y compris financier) pour des alliés impliqués dans l’action, ce qui renvoie au désir d’un soutien à projets ponctuels, thématiquement et géoculturellement circonscrits. Tout le monde comprend que les tensions existantes sont intimement liées à la position (encouragée ou mise en cause) de la Fondation

...qui reste centrale car elle restera, malheureusement, le financeur essentiel de la dynamique de l’Alliance...

.

Sur les différences/divergences des motivations alliées.

Schématiquement la lecture des réponses donnent l’impression qu’un débat plus ou moins contradictoire s’organise autour de deux positions. Une première position que nous appellerons celle de la Charte reccueille la majorité des suffrages (plus de 80 pour cent d’adhésion). Les tenants de la position de la Charte accompagne d’un

oui

franc et massif le texte et la FPH, auteur du texte. D’autres participants proposent voire revendiquent une position alternative et décrivent un clivage entre une vision structurante appelant à investir dans l’organisationnel et le fonctionnel et une vision agissante voire militante se focalisant sur l’opérationnel. Des oppositions sémantiques illustrent ce clivage : abstrait/concret, futur/présent, global/local, réflexion/action. C’est un peu comme si les uns, vus comme privilégiant le bureau des méthodes n’étaient pas à l’unisson avec d’autres perçus comme voulant se concentrer sur le terrain. Un appel aux "résultats" est lancé. Certains parlent de pression à exercer sur les "décideurs" et même d’actions de lobbying.
Pour illustrer ces oppositions sémantiques citons quelques extraits :

...Comment faire afin que l’action de l’Alliance ne se limite pas à une réflexion théorique et qu’elle débouche, au contraire, sur le plan des réalités concrètes ? ...

.

...In my opinion, the general goal of the new Alliance should be to have an impact on reality by putting into good use (directly or letting social movements do it) some of the proposals that it has generated...

...Construir la Alianza, respetando su naturaleza y principios, es una tarea que sólo será posible por acción concreta de los aliados en cada espacio territorial e institucional donde se encuentren...

.

...Si les objectifs sont clairs, je ne trouve pas, dans la Charte, par quels processus on peut s’en rapprocher, en particulier par pression, action, inflexion sur les Etats, qui restent "décideurs" de tout, en dernier ressort...

.

Des divergences concernent également la question de la construction d’une communauté mondiale : objectif préalable et donc prioritaire chez les uns :

... Les propositions de charte constitutive sont enrichissantes du moment que la priorité est à la construction d’une communauté mondiale...

; résultat final d’une construction allant du local au global chez les autres. D’autres encore placent le coeur de cible ailleurs :

...Je conserve des doutes idéologiques et politiques majeurs quant à l’intérêt et la pertinence de

restreindre

l’objectif, la mission même, de l’Alliance à la construction d’une communauté mondiale. Ce n’est pas, dans mes réflexions et convictions, une finalité mais un moyen ; je suis profondément humaniste et reste un démocrate convaincu, et ces deux piliers ne s’expriment et ne s’expérimentent jamais mieux au quotidien que sur un territoire signifiant et significatif, au niveau donc local ou micro local.

.

Le caractère informel de l’Alliance.

Un point sur lequel un certain nombre d’alliés se retrouve est celui des faibles lisibilité et visibilité de l’Alliance, de son absence de stratégie de communication, de sa distance aux média. Le désir d’institutionaliser l’Alliance pour lui permettre de peser d’une manière ou d’une autre sur les instances internationales est clairement exprimé. Mais d’autres participants privilégient l’ouverture et l’absence de "voix commune" qui particularise l’Alliance.

Le caractère opérationnel des dispositifs de travail et du calendrier.

Sur ces points des remarques en forme de proposition appellent à renforcer la transversalité des actions en interne et la capacité à rentrer en contact avec des acteurs extérieurs.

... D’accord avec l’idée d’un calendrier commun, mais la question est aussi de voir comment il peut s’articuler avec les calendriers des institutions multilatérales et d’autres comme celui du mouvement altermondialiste par exemple. Bref, tout en gardant son autonomie, comment irriguer aussi lieux de débats plus institutionnalisés...

.

... I welcome the proposal of the Common Calendar. However, I feel it lacks clear tasks and aims for the new stage : more intimate collaboration between the various workgroups, workshops and colleges of the Alliance ; articulation with other social movements (the WSSE is actively pursuing that) ; pressure for consistent public policies and for institutional transformation of agencies of national and global governance; production of collective documents and educational materials on transversal themes that go beyond the products of the first stage ; deeper reflection based on a transdisciplinary approach ; continental meetings and a global meeting before the end of the new stage...

Les groupes et comités de suivi et d’animation de l’Alliance.

Pas de vrais désaccords à ce sujet. Seulement des interrogations et besoins d’éclaircissements. Le groupe de garants est celui qui inspire le plus de remarques. Il est perçu indispensable, avec un effectif insuffisant et pas assez géoculturellement équitable dans sa composition. On se pose des questions sur son fonctionnement : qui ? comment ? pour quoi ? Sur son pouvoir ou son efficacité :

...Les 7 membres de l’instance d’arbitrage seront ou trop puissants ou noyés sous la masse d’informations : les cahiers de propositions étant conflictuels par nature, qui va arbitrer et au nom de quoi ?...

.

Le web et son usage.

L’importance du web dans le processus collectif qu’est l’Alliance semble exclure de fait des alliés (nombreux ?) ne bénéficiant pas de la technologie requise. Une réponse évoque les deux milliards d’êtres humains qui vivent sans éléctricité domestique. Un autre met en garde contre le type de relation que le web (prédominant dans un réseau comme l’Alliance) atrophie :

... Je suis sceptique sur le fait qu’Internet va rendre possible le partage des expériences de l’Alliance. Un outil est toujours réducteur et la puissance de l’informatique permet plus la juxtaposition que la confrontation... Rien ne peut remplacer le contact interpersonnel. Je pense que l’Alliance l’a déjà compris dans la dynamique préparant l’assemblée mondiale de Lille...

.

Une conclusion.

Ce que peut dire un regard extérieur (forcément partiel et parcellaire) : la FPH - architecte financeur (entre autres) - et les alliés - artisans maçons de tous pays (entre autres) - tentent depuis dix ans de travailler ensemble à l’édification d’un village Monde (entre autres). Tous les participants disent plus ou moins explicitement leur joie d’en être (90 pour cent d’intentions de participer à la seconde étape de l’Alliance). Dans la perspective de rendre plus opératoire, plus spacieuse et plus fertile l’idée d’unité dans la diversité, la contrainte d’une unique source financière semble devoir être relaxée en priorité.

...I am most amazed and disappointed that the goal "support the future development of the Alliance" does not make any reference to funding !!!!!... Yes, we need good rules, but we need funding other than FPHs too. As you may know, I have undertaken a cofunding mission for the Alliance for over two years now and the results have not been what we expected. As the FPH position text mentions, the innovative approach of the Alliance and the identity confusion between FPH/Alliance make it difficult for traditional funders to support our work. Knowing how difficult it is, but also how crucial for the future of the Alliance, I propose that one of the working procedures deals specifically with this issue. That is where I could participate more actively. Let’s not be afraid to talk about rules, but let’s not be afraid neither to talk about money...

.

0 reaction(s) |

... Your answers to the questionnaire
| 4 July 2005 | es |

1 - Comentarios preliminares

Este informe está basado sobre 130 respuestas al cuestionario (de las que 116 están en línea este 10 de junio). Tal como se presentan las cosas hoy, se destacan claramente de la consultación los elementos siguientes:

- El número de respuestas es muy bajo en términos del número de personas solicitadas, con menos de 3 por ciento de participación.

- Las respuestas son masivamente favorables al proyecto de la Carta Constitutiva con un alto porcentaje de aprobación (el resto de las respuestas son más o menos críticas, pero nunca en oposición completa).

- Las discordancias, la falta de comprensión y las preguntas expresadas son a la vez bastante pocas y ampliamente compartidas por aquéllos que las expresan (entre 10 y 20 por ciento de los participantes según la pregunta).

Las muy pocas respuestas plantean preguntas y la problemática de la representatividad. Un punto de vista externo no puede considerar esta problemática equiponderando cada respuesta y cada silencio a priori. Sería probablemente necesario ponderar estas respuestas y faltas de respuestas en términos de los lazos que unen a las personas solicitadas a la Alianza y del nivel de implicación (intensidad, anterioridad) de éstos en el proceso/proyecto colectivo que es la Alianza.

Sin embargo, todavía están llegando nuevas respuestas. En vista de la inercia del proceso de consulta, podemos esperar un total de unos centenares de respuestas en septiembre. Se podría ver este informe entonces como informe de medio camino.

Siguen citas que ilustran esta síntesis. Se han escogido por su expresión de un sentimiento compartido y como suficientemente representativas de consideraciones que se han expresado más allá del muy grande "sí al proyecto".

2 - Aprobación del Proyecto

La idea de la Alianza y el proyecto para una Carta está en profundo acuerdo con la percepción de los participantes. Extractos...

Sobre las motivaciones de la FPH: "... la voluntad de tomar en serio lo que cada uno aporta, y organizar su memoria, su capitalización y su restitución hace de la Fundación un instrumento irremplazable..." (traducido del francés)

Sobre la pertinencia de la Alianza: "... Sí, pues la complejidad del mundo de ahora requiere una acción coherente y colectiva..." (del inglés) O aún: "... Establecer una comunicación permanente con todas las asociaciones que tengan las mismas finalidades..." (del francés)

Sobre la Carta: "... Contiene y representa los fundamentos necesarios a la sana prologación de las actividades, de las utopias, de los sueños comunes que hay que lanzar dentro de la realidad para construir mañanas sensatos, razonables, sostenibles, plurales..." (del francés)

Las voces y los corazones hablan en unísono para expresar la necesidad y la emergencia de juntarse, interconectarse y trabajar juntos para la emergencia de alternativas a la evolución del mundo. Las respuestas muestran cuánto la constatación, el rechazo y la convicción mencionadas en el párrafo "objetivos de la Alianza" del texto de la Carta, sobre las cuales se sostiene el compromiso de los aliados, corresponden a la constatación, el rechazo y la convicción de los participantes. La misma convergencia se da respecto a la naturaleza de la Alianza. De los siete aspectos que describen la Alianza, cinco coinciden exactamente con los propósitos de aliados y amigos. Solamente los puntos que tienen que ver, por un lado, con la visión de la comunidad mundial que hay que construir, y por otro, con el sitio web como matriz o centro neurálgico de la Alianza, han sido discutidos (ver párrafo siguiente).

3 - Lo que se disputa

"... Creo que la gran justificación de la Alianza es que existe hoy un ’ciudadano del mundo’ que puede influir, como tal, en el destino de la humanidad. Toda la cuestión es saber CÓMO..." (del francés). Esta cita de una respuesta resume perfectamente el debate que la consulta ha revelado: aunque haya acuerdo casi total sobre el POR QUÉ, los aliados no están de acuerdo sobre el CÓMO.

3.1 - La iniciativa de proyecto de Carta

Como la consulta trata del contenido de la Carta, debemos notar primero que hay dos opiniones opuestas sobre el asunto. Un punto de vista expresa discordancias, incomprensión, y dudas que revelan e ilustran con mayor o menor intensidad las "contradicciones concretas que la Alianza ha de superar al final de la primera etapa" (párrafo 4 del documento que describe la posición de la FPH). Este punto de vista parece expresar que los arbitrios y/o innovaciones propuestas por la Carta para resolver estas contradicciones no responden a las expectativas de los participantes: "... la FPH no parece aprovechar las tensiones nacidas en el pasado sobre la gobernanza de la Alianza. La Carta Constitutiva es un documento que se presenta como para tomarla o dejarla; cuando se podría concebirla como documento de partida de un movimiento..." (del francés). Del lado opuesto, tenemos: "... Tengo que decir que esta Carta Constitutiva es un buen esfuerzo e incorpora varias sugerencias hechas en Mumbai y Porto Alegre..." (del inglés).

3.2 - Relaciones entre la FPH y la Alianza

Un participante piensa que las modalidades de trabajo "... deberían distinguir lo que depende de la gobernanza de la Alianza de lo que es del ’programa de trabajo’ de los aliados..." (del francés). También se expresa esta confusión sentida en las discordancias y sus argumentos correspondientes: es perceptible la tensión generada por la dificultad de plantear correctamente la ecuación gobernanza-organización-decisión-programa. Esta confusión parece venir de la relación que une la FPH con la Alianza. Para muchos participantes, no se disocian la FPH y la Alianza. La FPH tiene una posición única de Aliado y un poder particular: poder "de" para algunos, poder "sobre" para otros. Financiador y madre de la Alianza es lo que es la FPH. También es (y desea ser) independiente y soberana. Esto se entiende bien, nadie parece ignorar su auto-definición en la página de incio de su sitio web: "Una fundación independiente que apoya la emergencia de una comunidad mundial". Pero esto plantea un problema para los Aliados cuyos objetivos, misiones, y deseos de opciones estratégicas no corresponden a las preocupaciones y orientaciones de la fundación. Algunos participantes esperan de la Alianza que sea no sólo un lugar para compartir y un pool de ideas, pero también una herramienta de apoyo (incluyendo financiero) para los Aliados implicados en acciones, lo que se refiere al deseo de apoyo a proyectos específicos temática y geoculturalmente circunscritos. Todos entendemos que las tensiones existentes están íntimamente relacionadas con la posición (apoyada o discutida) de la fundación "... que permanece central porque permanecerá, desgraciadamente, el financiero esencial de la dinámica de la Alianza..."

3.3 - Sobre las diferencias/discordancias en las motivaciones de los Aliados

Esquemáticamente, las respuestas dan la impresión que hay un debate más o menos contradictorio organizado alrededor de dos posiciones. Una primera posición, que llamaremos la posición de la Carta, obtiene la aprobación más alta (de más de 80 por ciento). Aquéllos que defienden la posición de la Carta proporcionan un "sí" franco y masivo al texto y a la FPH, autor del texto. Otros participantes ofrecen, o incluso reclaman una posición diferente y describen una brecha entre por un lado una visión de estructuración que implica invertir en lo organizacional y lo funcional, y por otro lado una visión orientada hacia la acción, o incluso militante, visión que enfoca lo operacional. Se ilustra esta brecha en oposiciones semánticas: abstracto/concreto, futuro/presente, global/local, reflección/acción. Es algo como si algunos, vistos como privilegiando la oficina de métodos, no estuvieran de acuerdo con otros, percibidos como deseando concentrarse en la acción en el campo. Se lanza un llamado a resultados. Algunos hablan de ejercer presión sobre "los que deciden" e incluso de acciones de grupo de presión. Para ilustrar estas oposiciones semánticas, unas citas:

"... ¿Cómo lograr que la acción de la Alianza no se limite a una reflexión teórica y que al contrario resulte en el plan de realidades concretas?" (del francés)

"... En mi opinión, el objetivo general de la nueva Alianza debería ser de tener un impacto en la realidad poniendo en buena utilización (directamente o dejando que lo hagan movimientos sociales) algunas de las propuestas que ha generado..." (del inglés)

"... Construir la Alianza, respetando su naturaleza y principios, es una tarea que sólo es posible por acción concreta, de los aliados en cada espacio territorial e institucional donde se encuentren..." (en español).

"... Si los objetivos están claros, no encuentro, en la Carta, a través de qué procesos se puede acercarse de ellos, en particular por presión, acción, influencia en los estados, quienes permanecen los ’decidores’ de todo en último caso..." (del francés).

Algunas discordancias también tratan de la problemática de construir una comunidad mundial: un preliminar y por consiguiente un objetivo importante para algunos: "... Las propuestas de la Carta constitutiva son enriquecedoras desde el momento en que se le da la prioridad a la construcción de una comunidad mundial..." (del francés); el resultado final de una construcción de lo local a lo mundial para otros. Otros aún ven el objetivo en otra parte: "... Guardo dudas ideológicas y políticas mayores en cuanto al interés y la pertinencia de ’restringir’ el objetivo, la misión misma de la Alianza a la construcción de una comunidad mundial. Según mis reflexiones y mis convicciones no es ésta una finalidad sino un medio; soy profundamente humanista y permanezco un demócrata convencido, y estos dos fundamentos nunca se expresan ni se experimentan mejor en lo cotidiano que en un territorio significante y significativo, por consecuencia en el nivel local o micro local" (del francés).

3.4 - La naturaleza informal de la Alianza

Un punto sobre el cual bastantes Aliados están de acuerdo es el de la poca legibilidad y visibilidad de la Alianza, de su falta de estrategia de comunicación, de su distancia de los medios de comunicación. Se expresa claramente el deseo de institucionalizar la Alianza para que pueda pesar de alguna manera u otra sobre las instituciones internacionales. Pero otros participantes favorecen la apertura y la ausencia de una "voz común" que caracteriza a la Alianza.

3.5 - La naturaleza operacional de las modalidades de trabajo y el calendario

Sobre estos puntos, algunas observaciones expresadas como propuestas llaman a reforzar la naturaleza transversal de las acciones dentro de la Alianza y la capacidad de establecer contactos con actores externos.

".... De acuerdo con la idea de un calendario común, pero la cuestión consiste también en ver cómo puede articularse con los calendarios de las instituciones multilaterales y de otros, como el del movimiento altermondialista por ejemplo. En breve, al mismo tiempo que guardando su autonomía, cómo irrigar también lugares de debates más institucionalizados..." (del francés)

"... Estoy favorable a la propuesta de un calendario común. Sin embargo, siento que le faltan tareas y objetivos claras para la nueva etapa: una colaboración más íntima entre los varios grupos de trabajo, talleres, y redes socioprofesionales de la Alianza; articulación con otros movimientos sociales (el PSES está aplicando activamente una presión para obtener políticas públicas coherentes y una transformación institucional de agencias de gobierno nacionales y mundiales; producción de documentos colectivos y de materiales educativos en los temas transversales que van más allá de los productos de la primera etapa; una reflexión más profunda basada en un acercamiento transdisciplinario; encuentros continentales y un encuentro mundial antes del fin de la nueva etapa..." (del inglés)

3.6 - Grupos y comités de facilitación y de seguimiento de la Alianza

Ninguna discordancia real en este tema. Sólo preguntas y deseos de más explicación. El grupo de garantes es lo que inspira más observaciones. Se percibe como indispensable, pero insuficiente y no bastante equilibrado geoculturalmente. Se plantean preguntas acerca de cómo funcionará: ¿Quién? ¿Cómo? ¿Por qué? Y sobre su poder o su eficacidad: "... Los 7 miembros de la entidad de arbitrage o tendrán demasiado poder o estarán agobiados por la masa de informaciones: los cuadernos de propuestas siendo conflictivas por naturaleza, ¿quien va arbitrar y a nombre de qué?..." (del francés).

3.7 - El sitio Web y su utilidad

La importancia del sitio Web en el proceso colectivo que es la Alianza parece excluir los (¿muchos?) aliados que no tienen la tecnología requerida. Alguien menciona los dos mil millones de seres humanos que no tienen electricidad doméstica. Otro teme el tipo atrofiado de relaciones que induce internet (predominante en una red como la Alianza): "... Tengo dudas sobre el hecho de que Internet vaya a hacer posible compartir las experiencias de la Alianza. Una herramienta siempre es reductora y el poder de la informática permite más la yuxtaposición que la confrontación... Nada puede sustituir al contacto interpersonal. Pienso que la Alianza ya lo entendió en la dinámica de preparación de la asamblea mundial de Lille". (del francés)

4 - Una Conclusión

Esto es lo que se puede decir de un punto de vista externo (que es necesariamente parcial y fragmentado): La FPH -arquitecto, financiador (entre otras cosas)- y los Aliados -artesanos de todos países (entre otras cosas)- han intentado trabajar juntos durante diez años para la edificación de una aldea mundial (entre otras cosas). Todos los participantes expresan más o menos explícitamente su alegría de ser parte de esta historia (90 por ciento se proponen participar en la segunda etapa de la Alianza). En la perspectiva de hacer de la idea de unidad en la diversidad algo más operativo, más amplio y más fecundo, parece necesario retirar, como prioridad, el constreñimiento de tener una sola fuente financiera.

"...¡¡¡¡¡Estoy muy sorprendido y decepcionado que la meta ’ayudar el desarrollo futuro de la Alianza’ no hace ninguna referencia al financiamiento!!!!!... Sí, necesitamos buenas reglas, pero necesitamos financiamiento fuera del de la FPH también. Como tal vez sepan, he emprendido una misión de cofinancición para la Alianza durante más de dos años y los resultados no han sido los que esperábamos. Como lo menciona el texto sobre la posición de la FPH, el enfoque innovador de la Alianza y la confusión de identidad entre la FPH/Alianza les dificulta a los proveedores de fondos tradicionales que apoyen nuestro trabajo. Sabiendo lo difícil que es, pero también lo crucial para el futuro de la Alianza, propongo que uno de los procedimientos de funcionamiento se ocupe específicamente de esta cuestión. Aquí es donde podría participar más activamente. No dudemos en hablar de reglas, pero no dudemos tampoco en hablar de dinero...". (del inglés)

0 reaction(s) |

... Your answers to the questionnaire
| 4 July 2005 | en |

1 - Preliminary Remarks

This report is based on 130 answers to the questionnaire (116 of which were on line by June 10). As things stand today, the following elements of the consultation stand out distinctly:

- The number of answers is low in proportion to the number of people solicited, with a less than 3 percent participation rate.

- The answers are massively favorable to the Constituent Charter project with a very high approval percentage (the rest of the answers being more or less critical but never in complete opposition).

- The disagreements, the lack of understanding, and the questions expressed are both not very many and extensively shared by those who express them (between 10 and 20 percent of the participants depending on the question).

The very low number of answers raises questions and begs the issue of representativeness. An outside view cannot consider this issue a priori by giving every answer and every silence the same importance. It is probably necessary to ponder these answers and failure to answer in terms of the connections that link the persons who were solicited to the Alliance and of their level of involvement (time and intensity) of these latter in the collective process/project that the Alliance is.

New answers are however still being sent. Given the inertia of the consultation process, we can expect a total of a few hundreds answers by September. This report could then be seen as a progress report.

Below, a few quotes illustrate this qualitative summary. They were chosen for their expression of a shared feeling and as sufficiently representative of the considerations existing beyond the very broad "yes to the project."

2 - Approval of the Project

The idea of the Alliance and the project for a Charter are in profound agreement with what participants feel. Extracts...

On the motivations of the FPH: "... the determination to take what seriously each brings, to organize the memory of it, the capitalization and the restitution does of the Foundation an irreplaceable instrument... "

On the relevance of the Alliance: "... Yes, as the complexity of the today’s world requires collective and coherent action ..." Or yet: "... To establish continuous communication with all the organizations that have the same purposes ... "

On the Charter: "... It contains and represents the foundations that are necessary for the healthy continuation of activities, Utopias, and the dreams to be launched into reality in order to build our future sensible, reasonable, sustainable, and plural days... "

Voices and hearts speak in unison to express the need and the emergency of assembling, interconnecting, and working together for the emergence of alternatives to the evolution of the world. The answers show how much the finding, rejection, and conviction mentioned in the paragraph "Objectives of the Alliance" of the Charter proposal, on which the involvement of the Allies is actually based, are, in fact, the finding, rejection, and conviction of the participants. The same convergence of views applies to the nature of the Alliance. Five of the seven aspects describing what the Alliance is are in perfect keeping with the words of Allies, friends, and associates. Only the points dealing the vision of a global community to be built, on the one hand, and on the other hand the matrix, or nervous center of the Alliance that is represented by the Web site are problematic (see next paragraph).

3 - That Which Is Disputed

"... I believe that the major justification of the Alliance is that there is today a ’citizen of the world’ who can weigh, as such, on humankind’s destiny. The whole question is knowing HOW ... " This excerpt from an answer perfectly sums up the discussion that the consultation has brought to light: although there is almost total agreement on WHY, Allies do not agree on HOW.

3.1 - The Charter Project initiative

Since the consultation deals with the content of the Charter, we must first note that there are two opposite opinions on the subject. One point of view expresses disagreements, incomprehension, and questions that reveal and provide a more-or-less eloquent illustration of "the specific contradictions that need to be overcome by the Alliance as it moves out of its first stage" (paragraph 4 of the document describing the position of the FPH). This point of view seems to say that the arbitration and/or innovations proposed by the Charter to solve these contradictions do not meet the expectations of those who express them: "... the FPH does not seem to make good use the of tensions born in the past regarding the governance of the Alliance. The Constituent Charter is a document that is presented as a take-it-or-leave-it proposition; whereas one could conceive it as document to start up a movement... ". On the opposite position, we have "... I must say that this constituent charter is a good effort and incorporates several suggestions made at Mumbai and Porto Alegre ..."

3.2 - Relations between the FPH and the Alliance

One participating thinks that the working procedures "... should distinguish which is the spring of the governance of the Alliance of which is of him ’working program’ of the Allies... " . This confusion that is felt is also expressed in the disagreements and their corresponding arguments: the tension generated by the difficulty of properly stating the governance-organization-chart-decision-program equation is perceptible. It seems that this confusion comes from the relation that links the FPH to the Alliance. For many participants, FPH and Alliance are not dissociated. The FPH has a unique Ally status and particular power: power "to" for some, power "over" for others. Funder and mother of the Alliance, such is the FPH. It is also (and wishes to be) independent and sovereign. This is well understood, no one seeming to ignore its own definition of itself on the home page of its Web site: "An independent Foundation backing the emergence of a global community." But this poses a problem for the Allies whose objectives, missions, and desired strategic choices do not match the Foundation’s concerns and guidelines. Some participants expect the Alliance to be not only a place for sharing views and a pool of ideas, but also a tool for continued support (including financial) for Allies involved in action, which refers to the desire for support to specific projects, thematically and geoculturally circumscribed. Everybody understands that the existing tensions are intimately related to the (encouraged or questioned) position of the Foundation "... which remains central because it will remain, unfortunately, the essential funder of the Alliance dynamics ..."

3.3 - On the differences / disagreements in the Allies’ motivations

Schematically, the answers give the impression that a more-or-less contradictory debate is organized around two positions. A first position, which we will call the Charter position, gathers the highest approval rate (greater than 80 percent). Those who hold the Charter position provide a frank and massive "yes" to the text and to the FPH, author of the text. Other participants offer, or even claim a different position and describe a gap between on the one hand a structuring vision calling to invest in the organizational and the functional, and on the other hand an action-oriented, or even militant, vision focusing on the operational. This gap is illustrated by semantic oppositions: abstract/concrete, future/present, global/local, thinking/action. It is somewhat as if some, seen as privileging the methods office, were not in agreement with the others, perceived as wishing to concentrate on action on the field. A call for "results" is launched. Some speak of pressure to be exercised on "decision-makers" and even of lobbying actions. To illustrate these semantic oppositions, here are a few excerpts:

"... How can we make it so the action of the Alliance is not limited to theoretical considerations and obtains results, on the contrary, at the level of tangible realities"?

"... In my opinion, the general goal of the new Alliance should be to have an impact on reality by putting into good use (directly or letting social movements do it) some of the proposals that it has generated ..."

"... Building the Alliance, respecting its nature and principles, is a task that is only possible through the concrete action of Allies in whatever territorial or institutional space they are in ... ".

"... Although the objectives are clear, I don’t see, in the Charter, the processes through which we can come closer to them, in particular through pressure, action, and influence on the governments, which, at the end of the day, remain the "decision makers" for everything... ".

Some disagreements also deal with the issue of building a global community, a preliminary and therefore important objective for some: "... The Constituent Charter proposals are a source of wealth, as priority is given to building a global community ... "; the final result of building from the local to the global for others. Others yet place the target elsewhere: "... I still have major ideological and political doubts regarding the interest and the relevance of ’restricting’ the objective, the very mission of the Alliance to the construction of a global community. This is not, in my thinking and convictions, a purpose but a means; I am deeply a humanist and remain a convinced democrat, and these two pillars are never better expressed and experienced daily than in a significant and meaningful territory, therefore at the local or micro local level."

3.4 - The informal nature of the Alliance

One point on which a number of Allies agree is that of the weak legibility and visibility of the Alliance, of its lack of a communication strategy, of its distance from the media. The desire to institutionalize the Alliance in order to allow it to weigh in some way or another on the international bodies is clearly expressed. But other participants favor the openness and absence of a "common voice" that characterize the Alliance.

3.5 - The operational nature of the working procedures and the calendar

On these points, some observation expressed as proposals call on reinforcing the crosscutting nature of actions within the Alliance and the capacity to establish contacts with outside actors.

".. I agree with the idea of a common calendar, but the question is also to see how it can be articulated with the calendars of the multilateral institutions and others, as that of the alterglobalization movement, for instance. In short, how can we keep our autonomy and irrigate more institutionalized forums of debate ... "

’`... I welcome the proposal of the Common Calendar. However, I feel it lacks clear tasks and aims for the new stage: more intimate collaboration between the various workgroups, workshops, and colleges of the Alliance; articulation with other social movements (the WSSE is actively pursuing that pressure for consistent public policies and for institutional transformation of agencies of national and global governance; production of collective documents and educational materials on transversal themes that go beyond the products of the first stage; deeper reflection based on a transdisciplinary approach; continental meetings and a global meeting before the end of the new stage..."

3.6 - Alliance follow-up and facilitation groups and committees

No real disagreements on this subject. Only questions and need for further explanation. The group of guarantors is what inspires the most observations. It is perceived indispensable, but insufficient and not geoculturally balanced enough. Questions are raised as to how it will work: Who? How? Why? And on its power or its effectiveness: "... The 7 members of the arbitration body will be either too powerful or will drown under the mass of information: the Proposal Papers being contradictory by nature, who is going to arbitrate and in the name of what? ... "

3.7 - The Web site and its usefulness

The importance of the Web site in the collective process that the Alliance is seems to exclude the (numerous?) Allies not having the required technology. One answer mentions the two billion human beings who have no domestic electricity. Another guards against the atrophied type of relations that the Internet (predominant in a network such as the Alliance) induces: "... I am skeptical regarding the fact that the Internet is going to make it possible to share the experiences of the Alliance. A tool always reduces things and the power of the computer brings about more juxtaposition than confrontation ... Nothing can replace interpersonal contact. I think that the Alliance already understood this in the dynamics for the preparation of the World Assembly in Lille."

4 - A First Conclusion

This is what can be said from an outside point of view (which is necessarily partial and fragmented): The FPH - architect, funder (among others) - and the Allies - craftsmen of all countries (among others) - have endeavored for ten years to work together for the edification of a global village (among others). All participants more-or-less explicitly express their joy of being a part of this (90 percent intend to participate in the second stage of the Alliance). In the perspective of making the idea of unity in diversity more operative, more spacious, and more fertile, it seems necessary to lift, as a priority, the constraint of having a single financial source.

"...I am most amazed and disappointed that the goal ’support the future development of the Alliance’ does not make any reference to funding!!!!!... Yes, we need good rules, but we need funding other than FPH’s too.

As you may know, I have undertaken a co-funding mission for the Alliance for over two years now and the results have not been what we expected. As the FPH position text mentions, the innovative approach of the Alliance, and the identity confusion between FPH/Alliance makes it difficult for traditional funders to support our work. Knowing how difficult it is, but also how crucial for the future of the Alliance, I propose that one of the working procedures deal specifically with this issue. That is where I could participate more actively. Let’s not be afraid to talk about rules, but let’s not be afraid either to talk about money..."

0 reaction(s) |

... Your answers to the questionnaire
| 26 July 2005 | fr |

Remarques préliminaires

Cette synthèse privilégie les points que les réponses semblent situer en amont de tout ce qui fait débat à propos des dispositifs de travail. Elle n’aborde pas dans le détail certains éléments concrets des dispositifs de travail : annuaire, groupes de travail, chantiers, annales, etc. Par ailleurs, bien que non étrangers au problème du choix, de la conception et du développement des dispositifs de travail, des sujets déjà abordés dans des synthèses précédentes ne sont pas repris dans ce texte : relations FPH - Alliance, financement de l’Alliance.

Synthèse

Sur le sujet spécifique des dispositifs de travail comme sur les autres, le texte de la Charte est apprécié par la grande majorité des participants. 77% des personnes n’ont aucun point de désaccord avec le projet proposé. Les points fondamentaux abordés ci-après concernent les relations profondes qu’il doit y avoir entre la nature de l’Alliance, ses objectifs et ses dispositifs de travail. Ils concernent aussi les relations entre éthique et dispositifs de travail. Enfin nombreux sont les participants qui ont besoin d’aborder séparément les dispositifs de travail dédiés à la gouvernance de l’Alliance et les dispositifs de travail attachés aux programmes de travail et à la stratégie.

- Un certain nombre de réponses exprime une difficulté de lecture, de compréhension (de l’organisation) du texte :

...Il faudrait donc il me semble spécifier à quoi se réfère le terme "dispositifs" et séparer plus clairement les objectifs des dispositifs en décrivant chacun d’eux. Ces derniers ne sont-ils pas finalement à la fois les mécanismes, méthodes, outils, fonctionnements, qui permettent d’atteindre des objectifs donnés ?...

...il faut réfléchir auparavant aux objectifs de ces dispositifs. Est-ce que les objectifs des dispositifs doivent correspondre à l’ensemble des « objectifs » de l’Alliance ? Par exemple, est-ce que le développement de mécanismes de prise de décisions qui mène à l’action concrète sur le terrain, doit être considéré un objectif de l’Alliance ? si c’est le cas, on peut envisager d’ajouter à la liste des dispositifs ou méthodologies spécifiques à un tel objectif...

- Sur les relations de l’Alliance avec l’extérieur.

Une fois ce type de point clarifié, deux questions fondamentales surgissent explicitement ou en filigrane (au travers de la diversité des motivations alliées par exemple) :

...The Alliance needs to be clear as to whether it is a ressource or an activist mechanism. From this will come the working procedures...

A la lecture des réponses on peut se demander si les alliés ont tranché cette question. Certains semblent chercher une voie intermédiaire :

...Autre point, celui des modalités d’alliance avec d’autres institutions (multilatérales, gouvernements), entreprises ou mouvements sociaux qui, pour une raison ou une autre hésiteront à s’impliquer complètement dans l’Alliance. Comment pour autant « faire alliance » avec eux sur des objectifs plus limités avec des dispositifs et espaces de travail appropriés ?...

En parallèle, une autre interrogation : le caractère informel de l’Alliance lui donne t-il de la force ou au contraire entrave t-il son développement et son efficacité ? Voir l’Alliance comme un organisation militante institutionalisée ou comme un lieu informel d’échanges et de ressources conduit sans doute à une vision différente de ce que sont de "bons" dispositifs de travail tant du point de vue du fonctionnement interne que des relations avec l’extérieur. Ceux-ci en effet semblent devoir

...distinguer ce qui est du ressort de la gouvernance de l’Alliance de ce qui est du "programme de travail" des alliés...

- Sur la necessité de se doter d’outils d’évaluation.

La plupart sont convaincus que les enjeux concernant les dispositifs de travail reflètent les défis que se donne l’Alliance :

...The tasks involved require high quality procedures, information and input regarding synthesizing complex information, website management and clarification of the future direction of the Alliance...

En écho, des réponses soulignent l’importance de l’évaluation du travail accompli :

...Proponemos incorporar junto con los objetivos un conjunto de indicadores cualitativos e incluso cuantitativos para concretar nuestros sueños ;-)...

...Comment garantir que cette action ait un apport positif à la réalisation des objectifs communs ? Il y a alors un besoin d’évaluation de la valeur de ’expérience en soi (apport théorique - pratique, renforcement des actions citoyennes, ...). Il faudra définir, au préalable, des conditions qui garantissent - autant que possible - la contribution de l’action aux objectifs communs (promotion d’outils collectifs, diffusion d’information sur le travail des autres, ...)...

- Sur les dimensions collective et interactive des processus de décision et d’élaboration de propositions.

Les réponses traduisent un besoin de renforcer les synergies, les possibilités de collaborations, les interactions tranversales voire transdisciplinaires :

...de nombreux alliés souhaitent s’impliquer sur le fond (des propositions, des actions communes) sur la base d’axes, de thématiques, de collèges mieux identifiables. Ce n’est peut être pas l’objectif de la charte constitutive mais si l’on parle des dispositifs de travail il faut aussi penser à ces espaces commun de débats et d’élaboration de proposition...

Sur le thème des initiatives de collaborations entre alliés, une question se profile : est-ce du ressort de l’Alliance de se doter de dispositifs accompagnant certaines formes d’interactions ? On constate que la demande de dispositifs facilitant l’emergence "d’alliances locales" ou de "projections géographiques locales de l’Alliance" existe :

...Y-a-t-il la possibilité sur des problèmes ponctuels à caractère régional, notamment en matière de développement, de travailler la réflexion de manière régionale ?...

...creating local community groups (groups of workshorp), supplying local information, meeting with volunteers of good will...

- Sur l’éthique de la gouvernance de l’Alliance.

Le groupe d’accompagnement et de médiation tient une place particulière dans les préoccupations exprimées des alliés. On a déjà évoqué le problème du nombre de membres et de leur représentativité géo-culturelle. Les synthèses précedentes ont souligné des interrogations quant au fonctionnement de ce groupe, au choix de ses membres, à leur renouvellement.

En amont de ces aspects et au-dela de ce qui concerne strictement le groupe garant de la Charte, une question semble importante pour un certain nombre d’alliés. N’est-il pas

...plus juste et plus efficace de confronter des analyses d’experts contradictoires, qui permettent d’identifier très vite non seulement les points de convergences et de divergence, mais aussi les raisons et les référentiels à l’origine des divergences. L’Alliance aurait intérêt à se doter :
- par domaine : d’un comité scientifique interdisciplinaire pour valider les connaissances produites.
- par collège : d’acteurs capables de vérifier la pertinence des thèses développées.

Le croisement des deux sources de validation serait alors très original et opérant, car il importe au plus haut point dans un projet reposant sur certains principes éthiques d’être au clair sur les limites de validité éthique de cette entreprise. Toute position éthique a ses limites, et il faut encourager la critique et la diversité afin de préciser ces limites, et ainsi être conscient de l’espace à l’intérieur duquel une action est moralement efficace et légitime...

.

- Sur les relations inter-alliées.

Tout le monde s’accorde sur un fait : les sites web de l’Alliance sont absolument centraux, au point de se confondre presque avec l’Alliance. Aussi, nombreux sont ceux qui veulent dire que l’Alliance ne se résume pas à son site et qu’il est indispensable de maintenir et développer des relations en dehors du web à moins que la communauté mondiale dont l’Alliance veut favoriser l’émergence ne soit qui communauté "cablée".

...Attention à équilibrer la relation informatique avec la relation directe, le contact physique et la rencontre collective...

...I understand the spirit of what you are trying to do, and the potential of the internet, but I don’t think it has begun to be realized. The internet is simply not the most reliable or engaging tool, it needs to be supplemented with the face to face dialogues, and actions, conferences, projects...

...dispositivos de trabajo : bien, pero ¿por qué no alentar también la profusión de espacios físicos (no institucionales sino informales) donde puedan establecerse relaciones personales ?...

...les dispositifs de travail semblent reposer essentiellement sur le site Internet qui est le seul lieu de convergence, impersonnel et non accessible par tous...

2 reaction(s) |

... Your answers to the questionnaire
| 10 August 2005 | es |

Observaciones preliminares

Este resumen privilegia los puntos que las respuestas parecen considerar como previas a todo debate sobre los dispositivos de trabajo. No considera en detalle ciertos elementos concretos de los dispositivos de trabajo: el directorio, los grupos de trabajo, los talleres, los anales, etc. Por otra parte, aunque no estén sin relación con el problema de la opción, la concepción y el desarrollo de los dispositivos de trabajo, asuntos que ya se han considerado en las síntesis anteriores no se han tratado en este texto: relaciones FPH-Alianza, financiamiento de la Alianza.

Síntesis

Sobre el asunto específico de los dispositivos de trabajo como sobre otros, la gran mayoría de los participantes aprecian el texto de la Carta. 77% de los participantes no tienen ningún punto de discordancia con el proyecto propuesto. Los puntos fundamentales considerados en lo que sigue tratan de la relación profunda que tiene que haber entre la naturaleza de la Alianza, sus objetivos, y sus dispositivos de trabajo. También tratan de la relación entre la ética y los dispositivos de trabajo. Por fín, hay muchos participantes que necesitan considerar separadamente los dispositivos de trabajo diseñados para la gobernanza de la Alianza y los dispositivos de trabajo relacionados con los programas de trabajo y la estrategia. Varias respuestas expresan que el texto es difícil de leer y de entender (con respecto a la organización):

...Il faudrait donc il me semble spécifier à quoi se réfère le terme "dispositifs" et séparer plus clairement les objectifs des dispositifs en décrivant chacun d’eux. Ces derniers ne sont-ils pas finalement à la fois les mécanismes, méthodes, outils, fonctionnements, qui permettent d’atteindre des objectifs donnés ?...

...il faut réfléchir auparavant aux objectifs de ces dispositifs. Est-ce que les objectifs des dispositifs doivent correspondre à l’ensemble des « objectifs » de l’Alliance ? Par exemple, est-ce que le développement de mécanismes de prise de décisions qui mène à l’action concrète sur le terrain, doit être considéré un objectif de l’Alliance ? si c’est le cas, on peut envisager d’ajouter à la liste des dispositifs ou méthodologies spécifiques à un tel objectif...

- Sobre las relaciones de la Alianza con el exterior.

Una vez clarificado este tipo de punto, surgen dos interrogaciones básicas, explícitamente o no (a través de la diversidad de las motivaciones de l@s aliad@s, por ejemplo):

...The Alliance needs to be clear as to whether it is a resource or an activist mechanism. From this will come the working procedures...

Cuando leemos las respuestas, nos preguntamos si l@s aliad@s han podido tomar una decisión sobre esta cuestión. Algunos parecen buscar un camino por medio:

...Autre point, celui des modalités d’alliance avec d’autres institutions (multilatérales, gouvernements), entreprises ou mouvements sociaux qui, pour une raison ou une autre hésiteront à s’impliquer complètement dans l’Alliance. Comment pour autant « faire alliance » avec eux sur des objectifs plus limités avec des dispositifs et espaces de travail appropriés ?...

- Otra pregunta al mismo tiempo: ¿El carácter informal de la Alianza la fortalece o al contrario impide su desarrollo y su eficacia? Ver la Alianza como una organización militante institucionalizada o como un espacio informal para compartir y de recursos probablemente conduce a una visión diferente de lo que son "buenos dispositivos de trabajo" tanto desde el punto de vista del trabajo interno como del de las relaciones con el exterior. De hecho, parece que éstos deben

...distinguer ce qui est du ressort de la gouvernance de l’Alliance de ce qui est du "programme de travail" des alliés...

- Sobre la necesidad de tener herramientas de valoración. La mayoría de los participantes están convencidos que los desafíos relacionados con los dispositivos de trabajo reflejan los desafíos que la Alianza se ha trazado:

...The tasks involved require high quality procedures, information and input regarding synthesizing complex information, website management and clarification of the future direction of the Alliance...

Por otro lado también algunas respuestas insisten en la importancia de evaluar el trabajo cumplido:

...Proponemos incorporar junto con los objetivos un conjunto de indicadores cualitativos e incluso cuantitativos para concretar nuestros sueños ;-)...

...Comment garantir que cette action ait un apport positif à la réalisation des objectifs communs ? Il y a alors un besoin d’évaluation de la valeur de ’expérience en soi (apport théorique - pratique, renforcement des actions citoyennes, ...). Il faudra définir, au préalable, des conditions qui garantissent - autant que possible - la contribution de l’action aux objectifs communs (promotion d’outils collectifs, diffusion d’information sur le travail des autres, ...)...

- Sobre las dimensiones colectivas e interactivas de los procesos de toma de decisiones y la elaboración de propuestas.

Las respuestas expresan una necesidad de fortalecer las sinergias, las posibilidades de colaboración e interacciones transversales o incluso transdisciplinariass:

...de nombreux alliés souhaitent s’impliquer sur le fond (des propositions, des actions communes) sur la base d’axes, de thématiques, de collèges mieux identifiables. Ce n’est peut être pas l’objectif de la charte constitutive mais si l’on parle des dispositifs de travail il faut aussi penser à ces espaces commun de débats et d’élaboration de proposition...

Sobre el tema de iniciativas colaborativas entre aliad@s, se destaca una pregunta: ¿Depende de la Alianza ofrecer dispositivos para ciertas formas de interacción? Podemos observar que hay una demanda de dispositivos para facilitar la emergencia de "alianzas locales" o "proyecciones geográficas locales de la Alianza":

...Y a-t-il la possibilité sur des problèmes ponctuels à caractère régional, notamment en matière de développement, de travailler la réflexion de manière régionale ?...

...creating local community groups (groups of workshop), supplying local information, meeting with volunteers of good will...

- Sobre la ética de la gobernanza de la Alianza.

El grupo de acompañamiento y de mediación tiene un lugar especial en las preocupaciones expresadas por l@s aliad@s. Ya hemos planteado el problema del número de miembros y su representatividad geocultural. Las síntesis anteriores resaltaron cuestiones sobre cómo este grupo trabajaría y sobre la selección de sus miembros y su renovación. Previamente a estos aspectos y más allá de aquél estrictamente relacionado con el grupo del garantes de la Carta, hay una pregunta que les parece importante a vari@s aliad@s. ¿no es...

...plus juste et plus efficace de confronter des analyses d’experts contradictoires, qui permettent d’identifier très vite non seulement les points de convergences et de divergence, mais aussi les raisons et les référentiels à l’origine des divergences. a-t-il aurait intérêt à se doter : par domaine : d’un comité scientifique interdisciplinaire pour valider les connaissances produites. par collège : d’acteurs capables de vérifier la pertinence des thèses développées. Le croisement des deux sources de validation serait alors très original et opérant, car il importe au plus haut point dans un projet reposant sur certains principes éthiques d’être au clair sur les limites de validité éthique de cette entreprise. Toute position éthique a ses limites, et il faut encourager la critique et la diversité afin de préciser ces limites, et ainsi être conscient de l’espace à l’intérieur duquel une action est moralement efficace et légitime...

- Sobre las relaciones entre aliad@s.

Todos están de acuerdo sobre un hecho: los sitios web de la Alianza son completamente centrals; tanto, que están prácticamente confundidos con la Alianza. Por lo tanto, hay muchos que desean decir que la Alianza no se resume a su sitio web y que es indispensable mantener y desarrollar relaciones fuera de internet a menos que la comunidad mundial de la que la Alianza desea animar la emergencia será restringida a "la comunidad Internet".

...Attention à équilibrer la relation informatique avec la relation directe, le contact physique et la rencontre collective...

...I understand the spirit of what you are trying to do, and the potential of the internet, but I don’t think it has begun to be realized. The internet is simply not the most reliable or engaging tool, it needs to be supplemented with the face to face dialogues, and actions, conferences, projects...

...dispositivos de trabajo : bien, pero ¿por qué no alentar también la profusión de espacios físicos (no institucionales sino informales) donde puedan establecerse relaciones personales ?...

...les dispositifs de travail semblent reposer essentiellement sur le site Internet qui est le seul lieu de convergence, impersonnel et non accessible par tous...

0 reaction(s) |

... Your answers to the questionnaire
| 10 August 2005 | en |

Preliminary Remarks

This summary privileges the points that the answers seem to consider as previous to everything under debate regarding the working procedures. It does not consider in detail certain specific elements of the working procedures: the Directory, the work groups, the Workshops, the Annals, etc. Otherwise, although not foreign to the problem of the choice, conception, and development of the working procedures, subjects that have already been considered in previous summaries are not taken up in this text: FPH-Alliance relations, financing of the Alliance. Summary

On the specific subject of the working procedures as on the others, the text of the Charter is appreciated by the great majority of the participants. 77% of the respondents have no disagreement with the proposed project. The fundamental points considered below are concerned with the strong relationship there has to be between the nature of the Alliance, its objectives, and its working procedures. They are also concerned with the relationship between ethics and the working procedures. Finally there are many participants who need to consider separately the working procedures designed for the governance of the Alliance and the working procedures related to the work programs and the strategy. A number of answers express that the text is difficult to read and to understand (regarding the organization):

...Il faudrait donc il me semble spécifier à quoi se réfère le terme "dispositifs" et séparer plus clairement les objectifs des dispositifs en décrivant chacun d’eux. Ces derniers ne sont-ils pas finalement à la fois les mécanismes, méthodes, outils, fonctionnements, qui permettent d’atteindre des objectifs donnés ?...

...il faut réfléchir auparavant aux objectifs de ces dispositifs. Est-ce que les objectifs des dispositifs doivent correspondre à l’ensemble des « objectifs » de l’Alliance ? Par exemple, est-ce que le développement de mécanismes de prise de décisions qui mène à l’action concrète sur le terrain, doit être considéré un objectif de l’Alliance ? si c’est le cas, on peut envisager d’ajouter à la liste des dispositifs ou méthodologies spécifiques à un tel objectif...

- On the relations of the Alliance with the outside.

Once this sort of point is clarified, two basic questions emerge, explicitly or not (through the diversity of Allies’ motivations, for instance):

...The Alliance needs to be clear as to whether it is a resource or an activist mechanism. From this will come the working procedures...

When we read the answers, we wonder if the Allies have decided on this question. Some seem to seek a middle road:

...Autre point, celui des modalités d’alliance avec d’autres institutions (multilatérales, gouvernements), entreprises ou mouvements sociaux qui, pour une raison ou une autre hésiteront à s’impliquer complètement dans l’Alliance. Comment pour autant « faire alliance » avec eux sur des objectifs plus limités avec des dispositifs et espaces de travail appropriés ?...

Another question at the same time: Does the informal character of the Alliance make it stronger or on the contrary does it hinder its development and its efficiency? To see the Alliance as institutionalized activist organization or as an informal place to share ideas, experiences, and resources probably leads to a different vision of what "good" working procedures are as much from the point of view of internal working as from that of relations with the outside. Indeed, it seems that these should .

..distinguer ce qui est du ressort de la gouvernance de l’Alliance de ce qui est du "programme de travail" des alliés...

- On the need to have assessment tools.

Most respondents are convinced that the challenges related to the working procedures reflect the challenges that the Alliance has set out for itself:

...The tasks involved require high quality procedures, information and input regarding synthesizing complex information, website management and clarification of the future direction of the Alliance...

Along the same lines, some answers underscore the importance of evaluating the accomplished work:

...Proponemos incorporar junto con los objetivos un conjunto de indicadores cualitativos e incluso cuantitativos para concretar nuestros sueños ;-)...

...Comment garantir que cette action ait un apport positif à la réalisation des objectifs communs ? Il y a alors un besoin d’évaluation de la valeur de ’expérience en soi (apport théorique - pratique, renforcement des actions citoyennes, ...). Il faudra définir, au préalable, des conditions qui garantissent - autant que possible - la contribution de l’action aux objectifs communs (promotion d’outils collectifs, diffusion d’information sur le travail des autres, ...)...

- On the collective and interactive dimensions of the decision-making processes and the elaboration of proposals.

The answers express a need to strengthen synergies, collaboration possibilities, and cross-cutting or even cross-disciplinary interaction:

...de nombreux alliés souhaitent s’impliquer sur le fond (des propositions, des actions communes) sur la base d’axes, de thématiques, de collèges mieux identifiables. Ce n’est peut être pas l’objectif de la charte constitutive mais si l’on parle des dispositifs de travail il faut aussi penser à ces espaces commun de débats et d’élaboration de proposition...

- On the theme of collaborative initiatives among Allies, one question stands out: Is it up to the Alliance to offer procedures for certain forms of interaction? We can note there is a demand for procedures to facilitate the emergence of "local alliances" or "local geographic Alliance projections":

...Y a-t-il la possibilité sur des problèmes ponctuels à caractère régional, notamment en matière de développement, de travailler la réflexion de manière régionale ?...

...creating local community groups (groups of workshop), supplying local information, meeting with volunteers of good will...

- On the ethics of the governance of the Alliance.

The continued-support and mediation group has a special place in the concerns expressed by the Allies. We have already brought up the problem of the number of members and their geocultural representativeness. The previous summaries highlighted questions about how this group would work, about the choice of its members, and their renewal. Previously to these aspects and beyond the one strictly concerning the Charter guarantors’ group, there is a question that seems important for a number of Allies. Is it not

...plus juste et plus efficace de confronter des analyses d’experts contradictoires, qui permettent d’identifier très vite non seulement les points de convergences et de divergence, mais aussi les raisons et les référentiels à l’origine des divergences. a-t-il aurait intérêt à se doter : par domaine : d’un comité scientifique interdisciplinaire pour valider les connaissances produites. par collège : d’acteurs capables de vérifier la pertinence des thèses développées. Le croisement des deux sources de validation serait alors très original et opérant, car il importe au plus haut point dans un projet reposant sur certains principes éthiques d’être au clair sur les limites de validité éthique de cette entreprise. Toute position éthique a ses limites, et il faut encourager la critique et la diversité afin de préciser ces limites, et ainsi être conscient de l’espace à l’intérieur duquel une action est moralement efficace et légitime...

- On relations among Allies.

Everybody agrees on one fact: the Alliance Web sites are absolutely central, to the point that they are practically confused with the Alliance. Hence, there are many who wish to say that the Alliance does not amount only to its Web site and that it is indispensable to maintain and develop relations outside of the Internet unless the global community of which the Alliance wishes to encourage the emergence is to be restricted to the "Internet-connected community."

...Attention à équilibrer la relation informatique avec la relation directe, le contact physique et la rencontre collective...

...I understand the spirit of what you are trying to do, and the potential of the internet, but I don’t think it has begun to be realized. The internet is simply not the most reliable or engaging tool, it needs to be supplemented with the face to face dialogues, and actions, conferences, projects...

...dispositivos de trabajo : bien, pero ¿por qué no alentar también la profusión de espacios físicos (no institucionales sino informales) donde puedan establecerse relaciones personales ?...

...les dispositifs de travail semblent reposer essentiellement sur le site Internet qui est le seul lieu de convergence, impersonnel et non accessible par tous...

0 reaction(s) |

... Your answers to the questionnaire
| 7 September 2005 | fr |

A la fin de la consultation une synthèse du même type reprendra l’ensemble des propositions et questions restées en suspens. Le rédacteur des synthèses demande par avance d’être excusé pour toute proposition non recensée et invite les alliés à utiliser l’outil permettant de réagir en ligne pour compléter ce premier panorama.

Ces propositions et recommandations portent sur les points suivants :

- A. Charte constitutive : texte et évolution du texte.
- B. Architecture, gouvernance de l’Alliance.
- C. Financement de l’Alliance.
- D. Relations alliés-Alliance, alliés-alliés.
- E. Annales, communication sur les actions menées, évaluation du travail accompli.
- F. Logo et règles sur les initiatives considérées alliées.
- G. Le GAM [1] et les autres groupes de suivi proposés dans la charte.
- H. Le calendrier [2].
- I. Relations extérieures.

A. Charte constitutive : texte et évolution du texte.

A.1 Le texte doit gagner en lisibilité (concision). Une version courte devrait être développée.

A.2 Lever l’ambiguïté dans le texte entre dispositifs et objectifs. Dispositifs : mécanismes, méthodes, outils, fonctionnements, annales, annuaire, synthèses régulières trimestrielles, banques d’expérience, site web, règles selon lesquelles une initiative peut se recommander de l’Alliance. Objectifs : les cinq points évoqués dans le texte.

A.3 Objectifs : devraient distinguer ce qui est du ressort de la gouvernance de l’Alliance de ce qui est du "programme de travail" des alliés.

A.4 Préciser comment est financé le site Web et ceux qui s’occupent de sa maintenance. Préciser également la structure du site Web. Préciser les fonctions des différents groupes et comités.

A.5 Assigner des niveaux de priorité aux cinq objectifs :
niveau 1 :
1. définir la gouvernance.
2. financer le futur développement de l’Alliance.
niveau 2 :
3. structurer les relations et les débats.
niveau 3 :
4. développer les méthodes de travail.
5. construire la mémoire.

A.6 Calendrier : Les cinq axes de travail devraient être traités plutôt dans les dispositifs de travail.

A.7 Le texte mérite d’être simplifié afin de parler au plus grand nombre. Partir de "Pluriel, responsable et solidaire" : ce sont ces trois mots qui doivent uniquement être explicités afin de donner une image claire du "monde que nous choisissons".

A.8 Maintenir une liste électronique de discussion sur la Charte constitutive. Objectifs de cette liste :
1.- Une fois la charte approuvée et en vigueur, les participants de cette liste vont la réviser point par point, pendant un période à déterminer, en fonction des ambiguïtés actuelles et des futures expériences et conflits d’interprétation.
2.- A la fin de cette période, la version définitive de la charte est proposée à nouveau en consultation aux alliés. Si elle est acceptée, le groupe d’accompagnement et de médiation sera garant du texte modifié.
3.- Les participants de la liste interagissent en permanence avec le GAM.
4.- Une autre possibilité : cette tâche peut être attribuée directement au Groupe de garants, à condition qu’il soit élargi et que ses discussions autour de la révision de la Charte soient publiques.

A.9 La définition qui est donnée d’une « Alliance citoyenne », dans l’introduction ne doit pas porter seulement sur le caractère « international » de ces processus collectifs. Cette forme d’organisation sociale peut se reproduire à l’échelle locale. Une telle dynamique devrait être encouragée.

A.10 Préciser si les dispositifs et le calendrier font partie de la charte.

A.11 Rebaptiser la section « objectifs » en quelque chose comme « constats et engagements » qui lui correspond mieux.

B. Architecture, gouvernance de l’Alliance.

B.1 Entre d’un coté l’autonomie de décision des différents groupes de travail et chantiers, et de l’autre coté les avis, recommandations, décisions du GAM, il semble y avoir de la place pour intensifier le développement des outils participatifs permettant l’implication des alliés : espace commun de débats, d’élaboration de propositions, dispositif de fonctionnement pour les prises de décisions collectives sur les orientations (choix des partenaires, des projets à appuyer, choix géoculturels, méthodes, outils...). Organiser ces dispositifs sur la base d’axes, de thématiques, de collèges mieux identifiables.

B.2 Dans le cadre de la charte constitutive et en conformité avec le GAM, organiser :
des rencontres régulières, décentralisées et offertes prioritairement aux personnes ayant des difficultés à participer, notamment via le site web.
une liste de discussion permanente pour concevoir et développer des thèmes et domaines d’action non soutenus par la FPH.

B.3 Fractaliser l’Alliance en organisant des "petites Alliances" aux échelles locales (un pays, une région du monde, un continent).

B.4 Renforcer l’ancrage territorial de l’Alliance.

C. Financement de l’Alliance.

C.1 Proposer un dispositif, avec des moyens et méthodes, pour rendre possible la recherche de co-financements. Objectifs :
- Renforcer (l’autonomie et la surface d’action de) l’Alliance en tant que système de gouvernance et processus pour la gouvernance.
- Renforcer en transparence les relations entre alliés et financeurs (FPH, autres fondations, alliances internationales de petits bailleurs de fonds, « taxes alliées » de solidarité entre différents projets), relations basées sur un dispositif de prise de décisions collective établi au préalable.
- Conforter la FPH dans sa volonté de soutenir en priorité la mise en place de la gouvernance de l’Alliance.

D. Relations alliés-Alliance, alliés-alliés.

D.1 Inclure un principe de responsabilité pour ce qui est des lancements d’informations et d’initiatives.

D.2 L’engagement des membres du réseau à partager des informations/expériences doit être stipulé dans la charte.

D.3 Préciser les qualités d’un allié ou les objectifs des organisations partenaires. Donner la possibilité de mieux se connaître les uns, les autres.

D.4 Faire d’abord un état des lieux complet de l’Alliance : combien de membres actifs, de quels pays, quelles institutions membres ou partenaires, quelles activités, où (sur quels sujets, chantiers, actions) l’Alliance est-elle présente ?

D.5 Prévoir des modalités d’engagement gradués en fonction de la nature et de l’intensité d’interaction que les alliés peuvent proposer.

D.6 Renforcer les collaborations entre les différents chantiers et groupes de travail de l’Alliance.

E. Annales, communication sur les actions menées, évaluation du travail accompli.

E.1 Les annales devront constituer une réelle valeur ajoutée à la mémoire de l’Alliance et pas seulement des rapports d’activités linéaires.

E.2 Définir qui coordonnera le groupe de rédaction des annales, comment le groupe travaillera, comment il récoltera le contenu avec quelle qualité d’exhaustivité ?

E.3 Un retour sur investissement parmi d’autres : évaluer le sentiment de plénitude personnelle et de joie de vivre que peut procurer l’Alliance aux alliés.

E.4 La charte constitutive pourrait préciser comment les actions alliées vont contribuer au développement de l’Alliance, et comment l’Alliance contribuera aux actions alliées. Elle pourrait proposer un certains nombres d’indicateurs de performance évaluant ces contributions mutuelles.

E.5 Garantir qu’une action se réclamant de l’Alliance ne soit pas réalisée, tout simplement, en vue de conférer des avantages personnels à son réalisateur.

E.6 Évaluer la valeur de l’expérience en soi (apport théorique - pratique, renforcement des actions citoyennes, ...).

E.7 Définir des conditions et des outils d’évaluation qui garantissent (avant, pendant et après l’action) la contribution de l’action aux objectifs communs (promotion d’outils collectifs, diffusion d’information sur le travail des autres, ...).

F. Logo et règles sur les initiatives considérées alliées.

F.1 Préciser les nuances existant entre textes de référence et textes de travail, ou de fonctionnement, et spécifier plus largement comment utiliser le logo de l’Alliance ?

F.2 Allonger la période de présentation d’une initiative avant qu’elle soit lancée ou refusée.

F.3 Diffuser les propositions d’initiatives par mail.

F.4 Préciser comment une initiative est refusée.

F.5 Envisager un soutien explicite de chaque initiative par deux ou trois membres pour que celle-ci soit cooptée.

F.6 Prévoir une solidarité envers un membre qui serait en difficulté par rapport à une initiative qu’il aurait prise.

F.7 Deux critères pour déterminer quels doivent être les documents, actuels et futurs, portant le label de l’Alliance : qualité et degré d’implication collective. Il faut un équilibre entre ces critères, car les deux sont des éléments fondamentaux à l’identité et la cohésion d’un groupe.

G. Le GAM et les autres groupes de suivi proposés dans la charte.

G.1 Critère de composition des groupes :
- assurer la présence d’une personne de la FPH dans le GAM pour garantir l’héritage de la Fondation.
- adjoindre au GAM et autres groupes une ou plusieurs personnes sans lien financier avec la FPH pour garantir l’autonomie de l’Alliance.

G.2 Critère de transparence des groupes :
- les groupes et les chantiers de l’Alliance rendent publics leurs travaux et délibérations, dans la mesure de leurs possibilités. Dans le site web une rubrique peut être ouverte pour rapporter les progrès des groupes.

G.3 Substituer à la cooptation une procédure démocratique de renouvellement des membres du GAM. Cette procédure démocratique : validation d’une candidature, élection des membres est à définir.

G.4 Augmenter le nombre de membres du GAM pour augmenter sa représentativité géo-socio-culturelle.

H. Calendrier.

H.1 Mettre en cohérence les rythmes, cycles et échéances de l’Alliance et des alliés aux rythmes locaux très variés.

H.2 Évaluer avant renouvellement les axes stratégiques proposés tous les deux ans.

H.3 Le calendrier devrait être plus attentif aux grands événements politiques, économiques, sociaux qui vont fédérer la construction de la planète.

I. Relations extérieures.

I.1 Toucher périodiquement, par un manifeste, les institutions (selon les cas) de la gouvernance mondiale.

I.2 Travailler sur les modalités d’alliance avec d’autres institutions (multilatérales, gouvernements), entreprises ou mouvements sociaux qui, pour une raison ou une autre hésiteront à s’impliquer, complètement dans l’Alliance. Trouver comment « faire alliance » avec eux sur des objectifs plus limités avec des dispositifs et espaces de travail appropriés.

I.3 Mener une réflexion sur le "faire savoir". Mettre en place une cellule d’information et de communication, capable de valoriser les initiatives, les personnages, les "intentions sociales" des Alliés.

0 reaction(s) |

... Your answers to the questionnaire
| 7 September 2005 | en |

At the end the consultation, a summary of the same type will take up the whole of the proposals and unresolved issues. The writer of the summaries apologizes in advance for any proposal that he has not recorded and invites all Allies to react online for completion of this first panorama.

The proposals and recommendations deal the following points:

- A. Constituent Charter: the text and its evolution
- B. Architecture, governance of the Alliance
- C. Funding of the Alliance
- D. Relations between Allies and the Alliance and among Allies.
- E. Annals, communication on actions being considered or implemented, evaluation of work that has been accomplished
- F. Logo and rules for Alliance initiatives
- G. The CSMG [3] and the other follow-up groups proposed in the Charter.
- H. The calendar [4]
- I. External relations

A. Constituent Charter: the text and its evolution

A.1 The text must gain in legibility (conciseness). A short version should be drawn up.

A.2 Do away with the ambiguity in the text between procedures and objectives.
Procedures: mechanisms, methods, tools, operation, annals, directory, quarterly summaries, experience banks, Web site, rules according to which an initiative can recommend itself of the Alliance.
Objectives: the five points brought up in the text.

A.3 Objectives: there should be a distinction between those that are related to the governance of the Alliance and those that are related to the "working program" of the Allies.

A.4 Specify how the Web site is funded and who is in charge of its maintenance. Also specify the structure of the Web site. Specify the functions of the different groups and committees.

A.5 Assign levels of priority to the five objectives:
Level 1:
1. to define the governance
2. to finance the future development of the Alliance
Level 2:
3. to structure the relations and debates
Level 3:
4. to develop the working methods
5. to build the memory (records)

A.6 Calendar: It would be preferable to consider the five working lines within the working procedures.

A.7 The text deserves to be simplified to make it accessible to most people. Start from "plural, responsible and in solidarity": these three concepts need to be clarified only to give a clear image of the "world that we choose."

A.8 Open an manage an e-discussion list on the Constituent Charter. Objectives of the list:
1.- Once the Charter is approved and in force, participants of the list will review it point by point, for a period to be determined, for its present ambiguity and for any future experiences and conflicts in its interpretation.
2.- At the end this period, the definitive version of the Charter will be proposed again to the Allies for consultation. If it is accepted, the CSMG will be the guarantor of the amended text.
3.- The participants of the list will be in continuous interaction with the CSMG.
4.- Another possibility: this task could be assigned directly to the Group of Guarantors, provided that it is enlarged and that its discussions on the revision of the Charter are public.

A.9 The definition given of a "citizens’ alliance" in the introduction must not only bear on the "international" nature of these collective processes. This form of social organization can be reproduced on a local scale. Such dynamics should be encouraged.

A.10 Specify whether the procedures and the calendar are part of the Charter.

A.11 Rename the "objectives" section as something like "findings and commitments," which is a better reflection of its content.

B. Architecture, governance of the Alliance

B.1 Between on the one hand the autonomy of decision of the different work groups and workshops, and on the other the opinions, recommendations, and decisions of the CSMG, there seems to be room to intensify the development of participatory tools enabling the involvement of the Allies: a common forum for discussion, the elaboration of proposals, a working procedure for collective decision making regarding directions (choice of partners, projects to be supported, geocultural choices, methods, tools, and so on). Organize these procedures on the basis of lines, themes, and socioprofessional networks that are easier to identify.

B.2 In the framework of the Constituent Charter and in compliance with the CSMG, organize:
- regular, decentralized meetings open in priority to persons for whom it is difficult to participate, in particular, via the Web site.
- a permanent e-discussion list to design and develop themes and fields of action not backed by the FPH.

B.3 Fractalize the Alliance by organizing "small Alliances" at local scales (a country, a region of the world, a continent).

B.4 Reinforce the territorial rooting of the Alliance

C. Funding of the Alliance

C.1 Propose a procedure, with means and methods, to enable joint-fund raising. Objectives:
- Reinforce (the autonomy and the area of action of) the Alliance as a system of governance and a process for governance.
- Reinforce in a transparent way the relations between the Allies and the fund providers (FPH, other foundations, international alliance of small donors, "allied solidarity taxes" between different projects), relations based on a previously established decision-making procedure.
- Support the FPH in its determination to back as a priority the institution of the governance of the Alliance.

D. Relations between Allies and the Alliance and among Allies

D.1 Include a principle of responsibility for the launching of information and initiatives.

D.2 Commitment of the members of the network to share information / experiences must be stipulated in the Charter.

D.3 Specify the qualities of an Ally or the objectives of partner organizations. Offer the possibility to know one another better.

D.4 First produce a complete inventory of the Alliance: number of active members, from which countries, which partner or member institutions, which activities, where (on which subjects, workshops, actions) the Alliance is present

D.5 Plan procedures for a categorized involvement depending on the nature and the intensity of interaction that Allies propose.

D.6 Reinforce collaboration among the different workshops and work groups of the Alliance.

E. Annals, communication on actions being considered or implemented, evaluation of work that has been accomplished

E.1 The Annals should constitute a true added value to the memory/records of the Alliance and not only reports of linear activities.

E.2 Define who will coordinate the editorial group of the Annals, how the group will work, how it will collect the content, and with what quality of exhaustiveness?

E.3 A return on investments, among others: to evaluate the feeling of personal fulfillment and joie de vivre that the Alliance can offer the Allies.

E.4 The Constituent Charter could specify how Allies’ actions will contribute to the development of the Alliance, and how the Alliance will contribute to Allies’ actions. It could propose a number of performance indicators to evaluate these mutual contributions.

E.5 Guarantee that an action claiming the Alliance as its reference should not be implemented simply to confer personal advantages to whoever implements it.

E.6 Evaluate the value of the experience in itself (theoretical - practical contribution, reinforcement of the citizens’ actions, etc.).

E.7 Define the conditions and assessment tools that will guarantee (before, during, and after the action) the contribution of the action to the common objectives (promotion of collective tools, circulation of information on the work of others, etc.).

F. Logo and rules for Alliance initiatives

F.1 Specify the nuances between reference texts and working or operation texts, and further specify how to use the logo of the Alliance

F.2 Lengthen the period of submission of an initiative before it is launched or refused.

F.3 Circulate the proposals for initiatives by e-mail.

F.4 Specify how an initiative is refused.

F.5 Consider explicit support for every initiative by two or three members for it to be co-opted.

F.6 Plan solidarity for a member who might run into problems in an initiative that he or she might have taken.

F.7 Two criteria to determine what the documents, present and future, must be to have the Alliance label: quality and degree of collective involvement. A balance is necessary between these criteria, because the two are basic elements for the identity and the cohesion of a group.

G. The CSMG and the other follow-up groups proposed in the Charter.

G.1 Criteria for the composition of these groups:
- inclusion of a person from the FPH in the CSMG to guarantee the Foundation heritage.
- attach to the CSMG and the other groups one or several persons with no financial connection to the FPH in order to guarantee the autonomy of the Alliance.

G.2 Criteria for group transparency:
- the groups and workshops of the Alliance make their work and deliberations public to the best of their possibilities. In the Web site, a section can be opened to publish the groups’ progress reports.

G.3 Replace co-option with a democratic procedure for the renewal of the members of the CSMG. The democratic procedure: validation of a candidacy, election of the members, is to be defined.

G.4 Increase the number of members of the CSMG to increase its geo-socio-cultural representativeness.

H. Calendar

H.1 Achieve consistency between the rhythms, cycles, and deadlines of the Alliance and the Allies, and the very diverse local rhythms.

H.2 Evaluate before their renewal the strategic lines proposed every other year.

H.3 The calendar should be more attentive to the major political, economic, and social events that will be federating the construction of the planet.

I. External relations

I.1 Periodically approach, through a manifesto, global-governance institutions (depending on the case).

I.2 Work on alliance procedures with other institutions (multilateral, governments), companies, or social movements that, for one reason or another, might hesitate to get completely involved in the Alliance. Find how to "make an alliance" with them on limited objectives with appropriate procedures and working areas.

I.3 Do some thinking on how to circulate information. Set up an information and communication cell that can increase the value of Alliance initiatives, members, and their "social intentions."

0 reaction(s) |

... Your answers to the questionnaire
| 13 September 2005 | es |

Al final de la consulta, una síntesis de mismo tipo tomará el conjunto de propuestas y cuestiones no resueltas. El autor de las síntesis pide disculpa por adelantado si se le ha olvidado alguna propuesta e invita a todos los aliados a que reaccionen en línea para poder completar este primer panorama.

Las propuestas y recomendaciones cubren los puntos siguientes:

- A. Carta Constitutiva: el texto y su evolución
- B. Arquitectura, gobernanza de la Alianza
- C. Finaciamiento de la Alianza
- D. Relaciones entre los aliados y la Alianza y de los aliados entre ellos.
- E. Anales, comunicación sobre acciones en marcha, evaluación del trabajo cumplido
- F. Logotipo y reglas para las iniciativas de la Alianza
- G. El GAM [5] y los otros grupos de seguimiento propuestos en la Carta.
- H. Calendario [6]
- I. Relaciones exteriores

A. Carta Constitutiva: el texto y su evolución

A.1 El texto debe ganar en legibilidad (concisión). Se debe preparar una versión corta.

A.2 Suprimir la ambigüedad en el texto entre los dispositivos y los objetivos. Dispositivos: mecanismos, métodos, herramientas, funcionamiento, anales, directorio, síntesis trimestrales, bancos de experiencia, sitio web, reglas para que una iniciativa pueda recomendarse de la Alianza. Objetivos: los cinco puntos planteados en el texto.

A.3 Objetivos: se debe distinguir entre aquéllos que dependen de la gobernanza de la Alianza y aquéllos relacionados con el "programa de trabajo" de los aliados.

A.4 Estipular cómo se financia el sitio web y quién está encargado de su mantenimiento. También especificar la estructura del sitio web. Especificar las funciones de los diferentes grupos y comités.

A.5 Asignar niveles de prioridad a los cinco objetivos: Nivel 1: 1. definir la gobernanza 2. financiar el futuro desarrollo de la Alianza Nivel 2: 3. estructurar las relaciones y los debates Nivel 3: 4. desarrollar los métodos de trabajo 5. construir la memoria

A.6 Calendario: Sería preferible tratar de los cinco ejes de trabajo dentro de los dispositivos de trabajo.

A.7 Se debería simplificar el texto para que sea accesible a la mayoría de las personas. Empezar de "plural, responsable y solidario": estos tres conceptos sólo necesitan ser clarificados para dar una imagen clara del "mundo que escogemos".

A.8 Mantener una lista electrónica de discusión sobre la Carta Constitutiva. Objetivos de la lista: 1.- Una vez la Carta aprobada y vigente, los participantes de la lista la revisarán punto por punto, durante un período que se habrá de determinar, en función de sus ambigüedades actuales y de cualquiera experiencia futura y conflictos en su interpretación. 2.- Al final de este período, la versión definitiva de la Carta se propondrá de nuevo a los aliados en consulta. Si se acepta, el GAM será el garante del texto enmendado. 3.- Los participantes de la lista estarán en interacción continua con el GAM. 4.- Otra posibilidad: se podría asignar esta tarea directamente al Grupo de Garantes, con tal de que se amplie y que sus discusiones sobre la revisión de la Carta sean públicas.

A.9 La definición que se da de une "alianza ciudadana" en la presentación no sólo debe tener en cuenta el carácter "internacional" de estos procesos colectivos. Esta forma de organización social puede reproducirse en una escala local. Se debe animar tales dinámicas.

A.10 Estipular si los dispositivos y el calendario forman parte de la Carta.

A.11 Renombrar la sección "objetivos" a algo como "actas y compromisos," lo que refleja mejor su contenido.

B. Arquitectura, gobernanza de la Alianza

B.1 Entre por un lado la autonomía de decisión de los diferentes grupos de trabajo y talleres, y por otro las opiniones, recomendaciones y decisiones del GAM, parece haber lugar para intensificar el desarrollo de herramientas participativas que habiliten la implicación de los aliados: un espacio común de debate y de elaboración de propuestas, un dispositivo de trabajo para tomar decisiones colectivamente sobre las orientaciones (opción de consocios, proyectos que se han de apoyar, opciones geoculturales, métodos, herramientas, etc.). Organizar estos dispositivos sobre la base de ejes, temas y des redes socio-profesionales más fácilmente identificables.

B.2 En el marco de la Carta Constitutiva y con el acuerdo del GAM, organizar:
- encuentros regulares y descentralizados abiertos en prioridad a las personas para quienes es difícil participar, en particular vía el sitio web.
- una lista electrónica de discusión permanente para diseñar y desarrollar temas y campos de acción no apoyados por la FPH.

B.3 Fractalizar la Alianza por la organización de "pequeñas Alianzas" a escalas locales (un país, una región del mundo, un continente).

B.4 Reforzar el anclaje territorial de la Alianza

C. Finaciamiento de la Alianza

C.1 Proponer un dispositivo, con medios y métodos, para habilitar la búsqueda de financiamientos conjuntos. < u>Objetivos:
- Reforzar (la autonomía y el área de acción de) la Alianza como sistema de gobernanza y proceso para la gobernanza.
- Reforzar de manera transparente las relaciones entre los aliados y los proveedores de fondos (FPH, otras fundaciones, alianzas internacionales de pequeños donadores , "impuestos aliados" solidarios entre diferentes proyectos), relaciones basadas en un dispositivo de toma des decisiones previamente establecido.
- Coadyuvar a la FPH en su voluntad de apoyar como prioridad la institución de la gobernanza de la Alianza.

D. Relaciones entre los aliados y la Alianza y de los aliados entre ellos

D.1 Incluir un principio de responsabilidad para el lanzamiento de información y de iniciativas.

D.2 El compromiso de los miembros de la red a compartir informaciones/experiencias deben estipularse en la Carta.

D.3 Estipular las calidades de un Aliado o los objetivos de organizaciones consocias. Ofrecer la posibilidad de conocerse mejor.

D.4 Ante todo, producir un inventario completo de la Alianza: número de miembros activos, de qué países, cuáles instituciones miembras o asociadas, qué actividades, en qué (sobre cuáles temas, talleres, acciones) está presente la Alianza

D.5 Prever modalidades de compromiso graduadas según la naturaleza y la intensidad de interacción que aliados puedan proponer.

D.6 Reforzar la colaboración entre los diferentes talleres y grupos de trabajo de la Alianza.

E. Anales, comunicación sobre acciones en marcha, evaluación del trabajo cumplido

E.1 Los anales deben constituir un verdadero valor agregado a la memoria de la Alianza y no sólo ser informes lineales sobre las actividades.

E.2 Definir quién coordinará el grupo editorial de los anales, cómo trabajará el grupo, cómo se coleccionará el contenido, y con qué calidad de exhaustividad

E.3 Retorno de la inversiones, entre otras cosas: para evaluar el sentimiento de cumplimiento personal y de placer de vivir que la Alianza puede ofrecer a los aliados.

E.4 La Carta Constitutiva podría especificar cómo las acciones de los aliados contribuirán al desarrollo de la Alianza, y cómo la Alianza contribuirá a las acciones de los aliados. Podría proponer varios indicadores de actuación para evaluar estas contribuciones mutuas.

E.5 Garantízar que una acción que reclama la Alianza como referencia no debe llevarse a cabo simplemente para conferir ventajas personales a quienquiera llevala a cabo.

E.6 Evaluar el valor de la experiencia en sí ( contribución teórica-práctica, refuerzo de las acciones ciudadanas, etc.).

E.7 Definir las condiciones y herramientas de valoración que garantizarán (antes, durante, y después de la acción) la contribución de la acción a los objetivos comúnes (promoción de herramientas colectivas, circulación de información sobre el trabajo de otros, etc.).

F. Logotipo y reglas para las iniciativas de la Alianza

F.1 Especificar las subtilidades entre los textos de referencia y de trabajo y los textos de funcionamiento, y más allá especificar cómo usar el logotipo de la Alianza

F.2 Prolongar el período de sumisión de una iniciativa antes de que se lance o se rechace.

F.3 Circular las propuestas de iniciativas por correo electrónico.

F.4 Estipular cómo una iniciativa se rechaza.

F.5 Considar un apoyo explícito por dos o tres miembros para co-optar una iniciativa .

F.6 Prever solidaridad para algún miembro que podría encontrarse con dificultades en una iniciativa que podría haber tomado.

F.7 Dos criterios para determinar cuáles deben ser los documentos, presentes y futuros, que pueden llevar la etiqueta de la Alianza: calidad y grado de implicación colectiva. Un equilibrio es necesario entre estos criterios, porque los dos son elementos básicos para la identidad y la cohesión de un grupo.

G. El GAM y el otros grupos del seguimiento propusieron en el Carta.

G.1 Criterios para la composición de estos grupos:
- inclusión de una persona de la FPH en el GAM para garantizar la herencia de la Fundación.
- agregar al GAM y a los otros grupos una o varias personas sin relación financiera con la FPH para garantízar la autonomía de la Alianza.

G.2 Criterios para la transparencia de los grupos:
- los grupos y talleres de la Alianza realizan su trabajo y sus deliberaciones públicamente a lo mejor de sus posibilidades. En el sitio web, se puede abrir una sección para publicar informes sobre el trabajo realizado por los grupos.

G.3 Remplazar la cooptación con un dispositivo democrático para la renovación de los miembros del GAM. El procedimiento democrático: aprobación de una candidatura, elección de los miembros, queda por definidir.

G.4 Aumento en el número de miembros del GAM para aumentar su representatividad geo-socio-cultural.

H. Calendario

H.1 Realizar coherencia entre los ritmos, ciclos y fechas límite de la Alianza y los aliados, y los ritmos locales muy diversos.

H.2 Evaluar antes de su renovación los ejes estratégicos propuestos cada dos años.

H.3 El calendario debe estar más atento a los grandes eventos políticos, económicos y sociales que estarán federando la construcción del planeta.

I. Relaciones exteriores

I.1 Tocar periódicamente, a través de un manifiesto, las instituciones de gobernanza mundial (según el caso).

I.2 Trabajar sobre los procedimientos de la Alianza con otras instituciones (multilaterales, gobiernos), empresas o movimientos sociales que, por una u otra razón, podrían vacilar en implicarse completamente en la Alianza. Encontrar cómo "hacer una alianza" con ellos sobre la base de objetivos limitados con dispositivos y dominios de trabajo apropiados.

I.3 Llevar a cabo una reflexión sobre cómo circular la información. Establecer una célula de información y de comunicación que pueda valorizar iniciativas de la Alianza, sus miembros y sus "intenciones sociales".

0 reaction(s) |

... Your answers to the questionnaire
| 6 December 2005 | es |

Una síntesis de las síntesis

Observaciones

- Al redactar este informe, no se conocía el número definitivo de respuestas al cuestionario. Será muy cerca de 320. Se debe notar que la China no habrá podido participar en esta consulta.
- Los porcentajes de respuestas son la parte del número total de respuestas.
- Para el resto de este documento, hemos adoptado la sigla GAM para el Grupo de Acompañamiento y Mediación, garante de la Carta constitutiva.
- Las partes en cursivas no están basadas sobre las respuestas, mas sobre una interpretación de las respuestas, por la que el autor de este informe expresa un sentimiento personal.

Sobre la idea de la Alianza

50% de las respuestas.
Este pregunta se sometió primero sólo a l@s no aliad@s. Luego (a partir del 27 de julio de 2005), cualquiera que contestaba directamente en línea pudo expresarse sobre este punto. Esto explica las pocas respuestas a esta pregunta.

La idea de la Alianza está conforme con lo que sienten los participantes. La mayoría expresa la necesidad y la emergencia, para ellos y/o para otros, de unirse, interconectar y trabajar sobre la emergencia de alternativas a la evolución del mundo. Para muchos, la interdependencia de los problemas siempre implica la necesidad de tratarlos todos al mismo tiempo. El cuestionario les preguntó a los participantes si los valores y las causas defendidas por el proyecto de la Alianza también eran suyos. ¡La respuesta fue que sí! "¡Cómo no estar de acuerdo...!", han dicho muchos participantes .

Más allá de esta gran unanimidad e independietemente de la riqueza y el entusiasmo de las respuestas, muchos dejaron la impresión de un testimonio más bien breve (¿apresurado?). Sin información precisa sobre el grado de implicación en (y por lo tanto de intimidad con) la Alianza de los participantes aliados (observemos sin embargo que las respuestas más consistentes vinieron de personas que están o han estado sumamente involucradas en la Alianza), sin saber nada acerca de su deseo de expresarse, o no, más detalladamente, y sin tomar en cuenta el estilo y formato del cuestionario, que forzozamente han condicionado el estilo y formato de las respuestas, es difícil explicar por qué tan pocos participantes quicieron comunicar una visión, una concepción de la Alianza y una relación con ella que atraviesen las escalas y asgan la complejidad de tal organización, consideren la problemática del equilibrio entre la unidad y la diversidad, y posean los desafíos de una idea como la de la Alianza.

Sobre el espíritu de la Carta

100% de las respuestas.
Casi unanimidad sobre los resultados, los objetivos, la ética, los valores, la visión del mundo y la evolución deseada que el texto propone. Muchos Aliados están encantados con la perspectiva de una nueva fase y la promesa de nueva energía.

Si la pregunta hubiese sido: La Alianza, ¿ya basta o seguimos? la respuesta habría sido: ¡¡sigamos!!

Propuestas, discordancias y preguntas surgen en la consideración más detallada de la naturaleza de la Alianza, su papel, sus dispositivos de trabajo y la organización de su acción o su gobernanza. Ver las secciones más abajo.

La Carta, y más precisamente el proyecto de la Carta, que se haya percibido como adaptado, consensual y operativo o no muy claro, orientado, o necesitando (nueva) discusión, se ha acojido muy bien porque coincide con el deseo palpable de la mayoría de los participantes de darle una estructura a la Alianza y reglas que le permitan crecer. El apego a la Alianza, su valor en el corazón de los participantes, han sido totalmente perceptibles tanto en la formulación de propuestas o de críticas como en las palabras de aprobación.

Sobre los dispositivos de trabajo

45% de las respuestas.
Hay redundancias en esta sección y la sección dedicada a las propuestas.

Este resumen privilegia los puntos que las respuestas parecen considerar como previas a todo debate sobre los dispositivos de trabajo (ver también la parte dedicada a las propuestas). Los puntos fundamentales considerados en lo que sigue tratan de la relación profunda que tiene que haber entre la naturaleza de la Alianza, sus objetivos, y sus dispositivos de trabajo. También tratan de la relación entre la ética y los dispositivos de trabajo. Por fín, hay que insistir en que muchos participantes necesitan considerar separadamente los dispositivos de trabajo diseñados para la gobernanza de la Alianza y los dispositivos de trabajo relacionados con los programas de trabajo y la estrategia.

Varias respuestas expresan que el texto es difícil de leer y de entender (con respecto a la organización): parece necesario especificar a qué se refiere el término "dispositivos" y desciribir los objetivos y los dispositivos para marcar una separación más clara entre ellos. Al fin y al cabo ¿no son, los dispositivos, al mismo tiempo mecanismos, métodos, herramientas y formas de funcionamiento que permiten lograr objetivos específicos? También se expresa la necesidad de reflexionar primero sobre los objetivos de estos dispositivos. Los participantes se preguntan si los objetivos de los dispositivos deben ser la totalidad de los objetivos de la Alianza. Por ejemplo, ¿se debe considerar como un objetivo de la Alianza el desarrollo de mecanismos para tomar decisiones que conduzcan a acción concreta en el terreno? Si es así, se propone que otros dispositivos o metodologías específicos para este objetivo se agreguen a la lista.

Sobre las relaciones de la Alianza con el exterior: surgen dos interrogaciones básicas, explícitamente o no (a través de la diversidad de las motivaciones de l@s aliad@s, por ejemplo): Primero, ¿es la Alianza un lugar de recursos compartidos o una base de militancia? La respuesta a esta pregunta condiciona la opción de los dispositivos de trabajo. Cuando leemos las respuestas, nos preguntamos si l@s aliad@s han decidido en cuanto a esta cuestión. Algunos parecen desear un camino medio al buscar procedimientos de alianza con otras instituciones, empresas o movimientos sociales que, por una u otra razón, podrían vacilar en implicarse completamente en la Alianza. ¿Cómo, entonces, formar alianzas con ellos sobre una base de objetivos limitados con dispositivos y espacios de trabajo adecuados?

Parecería que l@s aliad@s, conociendo su riqueza de diversidad y la diversidad que puede ofrecer Alianza, quicieran que la Alianza diversifique sus interlocutores y sus cooperaciones y haga de su adaptabilidad "a otros" la calidad agregada a su unidad.

Otra pregunta al mismo tiempo: ¿El carácter informal de la Alianza la fortalece o al contrario impide su desarrollo y su eficacia? Las opiniones varían.

Sobre la necesidad de tener herramientas de valoración. La mayoría de los participantes están convencidos que los desafíos relacionados con los dispositivos de trabajo reflejan los desafíos que la Alianza se ha trazado: necesidad de dispositivos de calidad superior para manejar la complejidad, la inteligencia colectiva, la capitalización de la experiencia, y la elaboración de estrategias.

Por otro lado también, algunas respuestas insisten en la importancia de evaluar el trabajo cumplido: para garantizar que la acción sea una contribución positiva al logro de los objetivos comúnes. Evaluar el valor de la experiencia en sí (contribución teórica-práctica, refuerzo de las acciones ciudadanas, etc.). Definir previamente las condiciones que garanticen -en lo posible- la contribución de la acción a los objetivos comunes (promoción de herramientas colectivas, difusión de información sobre el trabajo de otros, etc.).

Sobre las dimensiones colectivas e interactivas de los procesos de toma de decisiones y la elaboración de propuestas: las respuestas expresan una necesidad de fortalecer las sinergias, las posibilidades de colaboración e interacciones transversales o incluso transdisciplinarias. Observamos que hay una demanda de dispositivos para facilitar la emergencia de "alianzas locales" o "proyecciones geográficas locales de la Alianza".

Sobre la ética de la gobernanza de la Alianza: el grupo de acompañamiento y de mediación tiene un lugar especial en las preocupaciones expresadas por l@s aliad@s. Ya hemos mencionado el problema del número de miembros (visto como demasiados pocos) y su representatividad geocultural. Hay preguntas sobre cómo este grupo trabajaría, sobre la selección de sus miembros y sobre su renovación. Previamente a estos aspectos y más allá de aquél estrictamente relacionado con el grupo del garantes de la Carta, hay una pregunta que les parece importante a vari@s aliad@s: ¿Por qué no confrontar análisis contradictorios de expertos, lo que haría posible muy rápidamente no sólo identificar los puntos de acuerdo y aquéllos de discordancia, mas también las razones y las referencias en que se basan las discordancias? Para estos participantes, es importante en un proyecto basado sobre ciertos principios éticos estar claros sobre los límites de la validez ética de esta empresa, puesto que toda posición ética tiene sus límites, que se deben especificar.

Sobre las relaciones entre aliad@s. Todos están de acuerdo sobre un hecho: los sitios web de la Alianza son completamente centrales; tanto, que están prácticamente confundidos con la Alianza. Por lo tanto, hay muchos que desean decir que la Alianza no se resume a su sitio web y que es indispensable mantener y desarrollar relaciones fuera de internet.

Que sea al refirirse al placer de los encuentros, al sentimiento de una identidad común, a la fuerza simbólica de una asamblea (como en Lille 2001), a la eficacia en el trabajo que permiten las relaciones locales, está ámpliamente compartido el deseo que la Alianza anime y facilite todo esto. Pero no se dice nada sobre cómo animar y facilitar estas relaciones directas. Los encuentros tienen un costo. Y aquí ya no sabemos si se trata de aliad@s dirigiéndose a la Alianza o a un donador.

Sobre el calendario

40% de las respuestas.
Visto como agenda, como horizonte, gusta. Visto como una lista de tareas que habrá que lograr según fechas límite específicas, se desea que sea más explícito y más consistente con otras agendas fuera de la Alianza.

Sobre las intenciones de participación

100% de las respuestas.
¡Honor a la fidelidad y a la pasión! Todos los participantes desean seguir con la aventura y hay casi 600 declaraciones de intenciones (acumuladas) de participar en los varios grupos de la Carta y los comités del seguimiento.

Sobre el número de respuestas

La consulta obtuvo cerca de 320 respuestas. Es inferior a los objetivos deseados.

Se re-solicitó la participación. Podemos cuestionar la eficacia de la solicitación, la comunicación sobre esta consulta en general, la reactividad de l@s aliad@s, y su deseo de ser parte de estas consideraciones preliminares para una fase importante de la evolución de la Alianza.

Un inventario de las propuestas

Este inventario retoma la sexta síntesis.

Carta constitutiva: el texto y su evolución

· El texto debe ganar en legibilidad (concisión). Se debe preparar una versión corta.

· Suprimir la ambigüedad en el texto entre los dispositivos y los objetivos.

· Dispositivos: mecanismos, métodos, herramientas, funcionamiento, anales, directorio, síntesis trimestrales, bancos de experiencia, sitio web, reglas para que una iniciativa pueda recomendarse de la Alianza.

· Objetivos: los cinco puntos planteados en el texto.

· Objetivos: se debe distinguir entre aquéllos que dependen de la gobernanza de la Alianza y aquéllos relacionados con el "programa de trabajo" de l@s aliad@s.

· Estipular cómo se financia el sitio web y quién está encargado de su mantenimiento. También especificar la estructura del sitio web. Especificar las funciones de los diferentes grupos y comités.

· Asignar niveles de prioridad a los cinco objetivos:
Nivel 1:
1. Definir la gobernanza
2. Financiar el futuro desarrollo de la Alianza
Nivel 2:
3. Estructurar las relaciones y los debates
Nivel 3:
4. Desarrollar los métodos de trabajo
5. Construir la memoria

· Calendario. Sería preferible tratar de los cinco ejes de trabajo dentro de los dispositivos de trabajo.

· Se debería simplificar el texto para que sea accesible a la mayoría de las personas. Empezar de "plural, responsable y solidario": se necesita clarificar sólo estos tres conceptos para dar una imagen clara del "mundo que escogemos".

· Mantener una lista electrónica de discusión sobre la Carta constitutiva. Objetivos de la lista:
1. Una vez la Carta aprobada y vigente, los participantes de la lista la revisarán punto por punto, durante un período que se habrá de determinar, en función de sus ambigüedades actuales y de cualquier experiencia futura y conflictos en su interpretación.
2. Al final de este período, la versión definitiva de la Carta se propondrá de nuevo a l@s aliad@s en una consulta. Si se acepta, el GAM será el garante del texto enmendado.
3. Los participantes de la lista estarán en interacción continua con el GAM.
4. Otra posibilidad: se podría asignar esta tarea directamente al Grupo de Garantes, con tal de que se amplie y que sus discusiones sobre la revisión de la Carta sean públicas.

· La definición que se da de una "alianza ciudadana" en la presentación no sólo debe tener en cuenta el carácter "internacional" de estos procesos colectivos. Esta forma de organización social puede reproducirse en una escala local. Se debe animar tales dinámicas.

· Estipular si los dispositivos y el calendario forman parte de la Carta.

· Renombrar la sección "objetivos" a algo como "actas y compromisos", lo que refleja mejor su contenido.

Arquitectura y gobernanza de la Alianza

· Entre por un lado la autonomía de decisión de los diferentes grupos de trabajo y talleres, y por otro las opiniones, recomendaciones y decisiones del GAM, parece haber lugar para intensificar el desarrollo de herramientas participativas que habiliten el involucramiento de l@s aliad@s: un espacio común de debate y de elaboración de propuestas, un dispositivo de trabajo para tomar decisiones colectivamente sobre las orientaciones (opción de consocios, proyectos que se han de apoyar, opciones geoculturales, métodos, herramientas, etc.). Organizar estos dispositivos sobre la base de ejes, temas y des redes socio-profesionales más fácilmente identificables.

· En el marco de la Carta constitutiva y con el acuerdo del GAM, organizar:
encuentros regulares y descentralizados abiertos en prioridad a las personas para quienes es difícil participar, en particular vía el sitio web;
una lista electrónica de discusión permanente para diseñar y desarrollar temas y campos de acción no apoyados por la FPH.

· Fractalizar la Alianza con la organización de "pequeñas Alianzas" a escalas locales (un país, una región del mundo, un continente).

· Reforzar el anclaje territorial de la Alianza

Finaciamiento de la Alianza

· Proponer un dispositivo, con medios y métodos, para habilitar la búsqueda de co-financiamientos.
Objetivos:
Reforzar (la autonomía y el área de acción de) la Alianza como sistema de gobernanza y proceso para la gobernanza.
Reforzar de manera transparente las relaciones entre aliad@s y proveedores de fondos (FPH, otras fundaciones, alianzas internacionales de pequeños donadores , "impuestos aliados" solidarios entre diferentes proyectos), relaciones basadas en un dispositivo de toma de decisiones previamente establecido.
Coadyuvar a la FPH en su voluntad de apoyar como prioridad la institución de la gobernanza de la Alianza.

Relaciones entre aliad@s y la Alianza y entre l@s aliad@s

· Incluir un principio de responsabilidad para el lanzamiento de información y de iniciativas.

· Se debe estipular en la Carta el compromiso de los miembros de la red a compartir informaciones/experiencias.

· Estipular las calidades de un(a) aliad@ o los objetivos de organizaciones consocias. Ofrecer la posibilidad de conocerse mejor.

· Ante todo, producir un inventario completo de la Alianza: número de miembros activos, de qué países, cuáles instituciones miembras o asociadas, qué actividades, en qué (sobre cuáles temas, talleres, acciones) está presente la Alianza.

· Prever modalidades de compromiso graduadas según la naturaleza y la intensidad de interacción que puedan proponer l@s aliad@s.

· Reforzar la colaboración entre los diferentes talleres y grupos de trabajo de la Alianza.

Anales, comunicación, valoración

· Los anales deben constituir un verdadero valor agregado a la memoria de la Alianza y no sólo ser informes lineales sobre las actividades.

· Definir quién coordinará el grupo editorial de los anales, cómo trabajará el grupo, cómo se coleccionará el contenido, y cuan exhaustivamente.

· La Carta constitutiva podría especificar cómo las acciones de l@s alhad@s contribuirán al desarrollo de la Alianza, y cómo la Alianza contribuirá a las acciones de l@s aliad@s. Podría proponer varios indicadores de actuación para evaluar estas contribuciones mutuas.

· Garantizar que una acción que se reclama de la Alianza no debe llevarse a cabo simplemente para conferir ventajas personales a quienquiera llevala a cabo.

· Evaluar el valor de la experiencia en sí (contribución teórica-práctica, refuerzo de las acciones ciudadanas, etc.).

· Definir las condiciones y herramientas de valoración que garantizarán (antes, durante, y después de la acción) la contribución de la acción a los objetivos comúnes (promoción de herramientas colectivas, difusión de información sobre el trabajo de otr@s, etc.).

Logotipo y reglas para que las iniciativas se consideren como iniciativas de la Alianza

· Especificar las subtilidades entre los textos de referencia y de trabajo y los textos de funcionamiento, y más allá especificar cómo usar el logotipo de la Alianza.

· Prolongar el período de sumisión de una iniciativa antes de que se lance o se rechace.

· Circular las propuestas de iniciativas por correo electrónico.

· Estipular cómo se rechaza una iniciativa.

· Considar un apoyo explícito por dos o tres miembros para que se co-opte una iniciativa .

· Prever solidaridad para algún miembro que podría encontrarse con dificultades en una iniciativa que haya tomado.

El GAM y otros grupos de seguimiento

· Criterios para la composición de estos grupos:
inclusión de una persona de la FPH en el GAM para garantizar la herencia de la Fundación;
agregar al GAM y a los otros grupos una o varias personas sin relación financiera con la FPH para garantízar la autonomía de la Alianza.
riterios para la transparencia de los grupos: los grupos y talleres de la Alianza realizan su trabajo y sus deliberaciones públicamente a lo mejor de sus posibilidades. En el sitio web, se puede abrir una sección para publicar informes sobre el trabajo realizado por los grupos.
Remplazar la cooptación con un dispositivo democrático para la renovación de los miembros del GAM.
Aumento en el número de miembros del GAM para aumentar su representatividad geo-socio-cultural.

Calendario

· Realizar coherencia entre los ritmos, ciclos y fechas límite de la Alianza y l@s aliad@s, y los ritmos locales muy diversos.

· Evaluar antes de su renovación los ejes estratégicos propuestos para cada dos años.

· El calendario debe estar más atento a los grandes eventos políticos, económicos y sociales que estarán federando la construcción del planeta.

Relaciones exteriores

· Tocar periódicamente, a través de un manifiesto, las instituciones de gobernanza mundial (según el caso).

· Trabajar sobre los procedimientos de la Alianza con otras instituciones (multilaterales, gobiernos), empresas o movimientos sociales que, por una u otra razón, podrían vacilar en implicarse completamente en la Alianza. Encontrar cómo "hacer una alianza" con ellos sobre la base de objetivos limitados con dispositivos y dominios de trabajo apropiados.

· Llevar a cabo una reflexión sobre cómo difundir informaciones. Establecer una célula de información y de comunicación que pueda valorizar iniciativas de la Alianza, sus miembros y sus "intenciones sociales".

Respuestas a las recomendaciones del Consejo del 14 de junio

Inventario de la Alianza

Esta parte, en anexo, intenta establecer la lista más completa posible de acciones de la Alianza: talleres, publicaciones, proceso de trabajo colectivo (foros, elaboración de propuestas, etc.), herramientas, métodos, encuentros, etc., existentes o habiendo existido gracias a, para, y con la Alianza. No disponible al redactar este informe, se proporcionará a los miembros del Consejo el 17 de octubre.

Distribución geográfica de los participantes

Europa: 51%
África: 25%
América del Sur: 10%
América Central: 4%
América del Norte: 3%
Asia-Oceanía: 7%
Medio Oriente: menos de 1%

La difusión geográfica del cuestionario, que permitiría el cálculo de la proporción de respuestas por zona geográfica, no está disponible al redactar este informe.

Lille 2001

Unos 10% de aquéllos que participaron en la consulta estuvieron en Lille. Para muchos de ellos es una referencia, un evento simbólico sentido como ejemplar.

Un espacio dedicado a testimonios

Una sección para los testimonios pronto estará disponible en el sitio Web de la Alianza. Invitando a una prosa libre, también propondrá, sin obligación, unos puntos de referencia para guiar los testimonios y así facilitar su evaluación. Una serie de preguntas optativas se está elaborando. Su última versión es:

Apellido, nombre
Edad
De dónde viene
Adónde reside
Aliad@, ¿desde cuándo?
Actividad dentro de la Alianza
Contactos/socios/colaboradores principales en la Alianza
¿Cómo descubrió la Alianza?
¿Puede describir lo que motiva su participación en la Alianza?
¿Cómo posiciona la Alianza en el paisaje político, filosófico, social, humanista, etc. que imagina?

Ideas del equipo de facilitación de la consulta sobre las reglas para que se consideren iniciativas como iniciativas de la Alianza: aspectos éticos y técnicos

Hubo algo de discusión dentro del equipo de facilitación de la consulta sobre los mecanismos para la publicación, la discusión, y la (no) aprobación de iniciativas que piden la etiqueta de la Alianza. Las consideraciones trataron de la eficacia del mecanismo, su relevancia, su aplicación técnica y cómo garantizar su ética. El resultado de esta discusión sigue en forma de un dispositivo (con comentarios), no completamente finalizado, que será operacional en un corto plazo relativo.

Recordatorio del "principio de información previa: todo aliado que quiera tomar una iniciativa invocando a la Alianza debe indicarlo en el sitio web, exponiendo la conformidad de su proyecto con la Carta constitutiva. El acuerdo de los otr@s aliad@s queda concedido si no hay objeciones motivadas en el mes subsiguiente a la publicación de la información en el sitio web."

El dispositivo propuesto es: · Abrir una sección "Nuevas propuestas" · Presentar un formulario que se debe completar:
Apellido, nombre, e-mail, ¿quién es Usted?
Presentación del proyecto con archivos adjuntos si necesario.
Contactos de personas que desean participar en el proyecto.
Como resultado del formulario completado, una página que presenta la información anterior con un recordatorio de los principios de la Carta.
Posibilidad, en la misma página, para que cualquiera dé su opinión y vote por o contra el proyecto como proyecto de la Alianza (si alguien desea hablar de él en la lista electrónica de discusión general de la Alianza, lanzará ella o él mism@ la discusión).
Posibilidad de inscribirse como interesad@ en el proyecto.
Número de días restantes antes de la decisión de lanzar el proyecto o no.

Todos esto en uno o varios idiomas.

Se pondrá en la página de inicio un enlace para la sección "Nuevas propuestas" y se presentarán todos los nuevos proyectos en el boletín de información "¿Qué hay de nuevo?" (o éste siempre contendrá la sugerencia de visitar la sección "Nuevas propuestas"). Puede explicarse aquí y allá (en la sección antedicha, en la página de inicio del sitio web de la Alianza, en el boletín de información, etc.) que la regla es, por ejemplo: una iniciativa propuesta se reserva para ponerla en línea a una fecha fija (para compensar posibles variaciones en la fecha de difusión del boletín de información "¿Qué hay de nuevo?"). Si se acepta el proyecto, se le dará un lugar en la sección más adecuada del sitio web. Si no se acepta, permanece en los archivos de la sección "Nuevas propuestas", pero no hay ninguna otra posibilidad de aprobar o rechazarlo. En todo caso, todos los proyectos permanecen en la sección, que comprende tres partes: propuestas actuales, proyectos aceptados (con un enlace hacia la página que presenta su seguimiento), proyectos rechazados.

Problemas posibles resaltados, preguntas no resueltas durante la discusión:
Posibilidad de demasiadas solicitaciones de todo tipo, difícil de manejar, en particular por el equipo encargado del sitio web.
Una preocupación de adaptar lo mejor posible el dispositivo a los principios de la Carta.
Riesgo de caer en la brecha digital presente en la Alianza como en otras partes.
Riesgo de establecimiento de un dispositivo que no es equitativo según si uno ya está o no en una relación más o menos íntima con la Alianza, l@s aliad@s o la FPH.
¿El papel del sitio web es indicar una nueva propuesta para suscitar interés y discusión sobre ella y contactos para ella, o involucrarse más profundamente en la labelización Alianza (o su rechazo)?
¿Debe la Alianza, a través de su sitio web, únicamente proponer alguna forma de atención al iniciador del proyecto o debe adoptar una posición más centralizante al detrimento de la autonomía y la flexibilidad?
¿Incluye el GAM (qué todavía no existe) en su vocación ser llamado sistemáticamente en caso de alguna forma de obstáculo?
Cómo podemos aseguramos que el iniciador del proyecto no está viniendo sólo a buscar un logotipo, una etiqueta? ¿Exigir que se presenten las razones de su deseo de poner el proyecto bajo la sombrilla de la Alianza, asegurarse que tiene una relación activa con un@ o vari@s aliad@s/talleres, asegurarse que con su proyecto, contribuirá realmente al trabajo colectivo de la Alianza?

En conclusión, al equipo le gustaría preparar una estructura de organización ligera (con un mínimo de desarrollo informático y dispositivos que habrá que seguir) para ofrecer tan pronto como posible un lugar en donde estos proyectos puedan presentarse y se puedan hacer contactos fructíferos entre iniciadores del proyecto y posibles colaboradores.

Nota personal: ha sido un gran placer tomar mis primeros pasos en la Alianza como animador de esta consulta. El equipo "site 21" ha sido principal responsable de este placer. Por fin, ha sido entusiasmante y enriqueciente conseguir una apreciación global, desde un mirador privilegiado, del número y la diversidad de las personas, aliad@s o amigos de la Alianza, que están trabajando a través del mundo... Espero profundamente que este trabajo de informe habrá contribuido a la evolución que la Alianza desea para sí misma.

0 reaction(s) |

... Your answers to the questionnaire
| 6 December 2005 | en |

Overall Analytical Summary

Remarks
- At the drafting of this report, the final number of answers to the questionnaire was not known. It should be very close to 320. It should be noted that China will not have been able to participate in this consultation.
- Percentages are related the share of total number of answers.
- In the rest of this document, the acronym CSMG designates the Continued Support and Mediation Group, guarantor of the Constituent Charter.
- The parts in italics are not based on the answers but on an interpretation of the answers and thus express a personal feeling of the writer of this report.

On the Alliance Idea

50% of total answers.
This question was first put only to non-Allies. Later (from July 27, 2005 on), anyone answering directly on line was able to express him or herself on this point. This explains the low number of answers to this question.

The Alliance idea reflects what the participants feel. Most express the need and the emergency, for themselves and/or for others, to join, to interconnect, to work on the emergence of alternatives to the evolution of the world. For many, the interdependence of the problems always implies the need to deal with them at the same time. The questionnaire asked the participants if the values and causes defended by the Alliance project were also theirs. The answer was yes! "How could we not agree ...", said many participants.

Beyond this large unanimity and regardless of the wealth and enthusiasm of the answers, the general impression was that this question was given a rather brief (hasty?) response. Given the lack of specific information on the measure of involvement in (and therefore of intimacy with) the Alliance of participants who are Allies (we can nevertheless observe that the most consistent answers came from persons who are or have been highly involved in the Alliance), given the lack of knowledge as to whether or not they wish to express themselves in a more detailed way, and given the style and format of the questionnaire, which necessarily conditioned the style and format of the answers, it is difficult to explain why so few participants cared to communicate a vision, a conception of the Alliance, and a relationship to it, testifying to the scales and grasping the complexity of the organization, considered the issue of the balance between unity and diversity, or owned the challenges and stakes involved in the idea of the Alliance.

On the Spirit of the Charter

100% of total answers.
Almost a unanimity on the findings, the objectives, the ethics, the values, the vision of the world and the desired evolution that the text proposes. Many Allies are delighted with the perspective of a new stage and the promise of new energy.

If the question raised had been: The Alliance, enough or more? The answer would be: more!!

Proposals, disagreements, and questions emerge in the more detailed consideration of the nature of the Alliance, its role, its working procedures, and the organization of its action or its governance. See the following sections.

The Charter, and more specifically the Charter project, whether it was perceived as appropriate, consensual and operative or fuzzy, oriented, or to be (re)discussed, was largely welcomed because it matched the palpable desire among most participants to give the Alliance a structure and rules allowing it to grow. Attachment to the Alliance, its value in the participants’ heart, was completely perceptible as much in the formulation of proposals or criticism as in the words of approval.

On the Working Procedures

45% of total answers. There are redundancies in this section and the section devoted to proposals.

This section privileges the points that the answers seem to consider as preliminary to everything that is debatable regarding the working procedures (see also the part devoted to proposals). The fundamental points considered below are concerned with the strong relationship there has to be between the nature of the Alliance, its objectives, and its working procedures. They are also concerned with the relationship between ethics and working procedures. Finally, it should be emphasized that there are many participants who need to consider separately the working procedures designed for the governance of the Alliance and the working procedures related to the work programs and the strategy.

A number of answers express that the text is difficult to read and to understand (regarding the organization): there appears to be a need to specify what the term "procedures" refers to and to mark a clearer separation between the objectives and the procedures by describing them. Are not these latter finally, all at the same time mechanisms, methods, tools, and forms of operation that make it possible to achieve specific objectives? Expressed is also a need to first think about the objectives of these procedures. Participants wonder whether the objectives of the procedures should be the whole of the Alliance’s objectives. For instance, should the development of decision-making mechanisms leading to concrete action on the field be considered as an objective of the Alliance? If so, it is proposed that other specific procedures or methodologies specific to this objective should be added to the list.

On the relations of the Alliance with the outside: two basic questions emerge, explicitly or not (through the diversity of Allies’ motivations, for instance). First, is the Alliance a place of shared resources or a core of activism? The answer to this question conditions the choice of the working procedures. When we read the answers, we wonder whether the Allies have decided on this question. Some seem to be seeking a middle road by looking for procedures for alliances with other institutions, undertakings, or social movements that for one reason or another would hesitate to get completely involved in the Alliance. How, then, can we forge alliances with them on limited objectives with suitable procedures and working spaces?

It would seem that the Allies, knowing their wealth of diversity and the diversity that the Alliance can offer, would like the Alliance to diversify its interlocutors and its partnerships and make its adaptability "to others" the quality added to its unity.

Another question at the same time: Does the informal character of the Alliance make it stronger or on the contrary does it hinder its development and its efficiency? There are differences of opinion on this question.

On the need to have assessment tools: most respondents are convinced that the challenges related to the working procedures reflect the challenges that the Alliance has set out for itself: need of high-quality procedures to manage complexity, collective intelligence, experience capitalization, and the elaboration of strategies.

Along the same lines, some answers underscore the importance of evaluating the accomplished work: to guarantee that the action is a positive contribution to the achievement of the common objectives. Evaluate the value of the experience in itself (theoretical - practical contribution, reinforcement of citizens’ actions, etc.). Previously define the conditions that guarantee - as much as possible - the contribution of the action to the common objectives (promotion of collective tools, circulation of information on others’ work, etc.).

On the collective and interactive dimensions of the decision-making processes and the elaboration of proposals: the answers express a need to reinforce synergies, collaboration possibilities, and cross-cutting or even cross-disciplinary interaction. We note that there is a demand for procedures to facilitate the emergence of "local alliances" or "geographically local projections of the Alliance."

On the ethics of the governance of the Alliance: The continued-support and mediation group has a special place in the concerns expressed by the Allies. We have already mentioned the problem of the number of members (seen as too low) and of their geocultural representativeness. There are questions about how this group would work, about the choice of its members, and about their renewal. Previously to these aspects and beyond the one strictly concerning the Charter guarantors’ group, there is a question that seems important for a number of Allies: Why not confront contradictory analyses by experts, which would make it possible very quickly to identify not only the points of agreement and those of disagreement, but also the reasons and the references on which disagreements are based? For these participants, it is important in a project based on certain ethical principles to be clear about the limits of the ethical validity of this undertaking, as all ethical positions have their limits, which should be specified.

On relations among Allies. Everybody agrees on one fact: the Alliance Web sites are absolutely central, to the point that they are practically confused with the Alliance. Hence, there are many who wish to say that the Alliance is not limited to its Web site and that it is indispensable to maintain and develop relations outside of the Internet.

Whether referring to the pleasure of meetings, the feeling of a common identity, the symbolic force of a gathering (as in Lille 2001), the efficiency in work that local relations afford, the wish that the Alliance should encourage and facilitate all of these is extensively shared. But nothing is said about how to encourage and facilitate these direct relations. Meetings have a cost. And here we are no longer sure whether it is Allies speaking to the Alliance or to a donor.

On the Calendar

40% of total answers. Seen as an agenda, a horizon, it is liked. Seen as a list of tasks to accomplish according to specific deadlines, it is wished to be more explicit and more consistent with other agendas outside of the Alliance.

On Participation Intentions

100% of total answers.
Fidelity and passion are the words! All participants wish to pursue the adventure and there are nearly 600 declarations of intentions (accumulated) to participate in the various Charter groups and follow-up committees.

On the Number of Answers The consultation obtained about 320 answers. This is short of the desired objectives.

Potential participation was re-solicited. We can question the efficiency of the solicitation, communication on this consultation in general, the responsiveness of Allies, and their desire to be a party to these preliminary considerations for an important phase of the evolution of the Alliance.

An Inventory of the Proposals This inventory takes up the sixth Analytical Summary.

Constituent Charter: The Text and Its Evolution

- The text must gain in legibility (conciseness). A short version should be drawn up.
- Do away with the ambiguity in the text between procedures and objectives.
- Procedures: mechanisms, methods, tools, operation, annals, directory, quarterly summaries, experience banks, Web site, rules according to which an initiative can recommend itself of the Alliance.
- Objectives: the five points brought up in the text.
- Objectives: there should be a distinction between those that are related to the governance of the Alliance and those that are related to the "working program" of the Allies.
- Specify how the Web site is funded and who is in charge of its maintenance. Also specify the structure of the Web site. Specify the functions of the different groups and committees.
- Assign levels of priority to the five objectives:
Level 1:
1. Define the governance
2. Finance the future development of the Alliance
Level 2:
3. Structure the relations and debates
Level 3:
4. Develop the working methods
5. Build the memory (records)

- Calendar: It would be preferable to consider the five working lines under the working procedures.
- The text deserves to be simplified to make it accessible to most people. Start from "plural, responsible and in solidarity": it is only these three concepts that need to be clarified to give a clear image of the "world that we choose."
- Open an manage an e-discussion list on the Constituent Charter. Objectives of the list:
- Once the Charter is approved and in force, participants of the list will review it point by point, for a period to be determined, for its present ambiguity and for any future experiences and conflicts in its interpretation.
- At the end this period, the definitive version of the Charter will be proposed again to the Allies for consultation. If it is accepted, the CSMG will be the guarantor of the amended text.
- Participants of the list will be in continuous interaction with the CSMG.
- Another possibility: this task could be assigned directly to the CSMG, provided that it is enlarged and that its discussions on the revision of the Charter are public.

- The definition given for a "citizens’ alliance" in the introduction must not only bear on the "international" nature of these collective processes. This form of social organization can be reproduced on a local scale. Such dynamics should be encouraged.
- Specify whether the procedures and the calendar are part of the Charter.
- Rename the "objectives" section as something like "findings and commitments," which is a better reflection of its content.

Alliance Architecture and Governance

- Between on the one hand the autonomy of decision of the different work groups and workshops, and on the other the opinions, recommendations, and decisions of the CSMG, there seems to be room to intensify the development of participatory tools enabling the Allies’ involvement: a common forum for discussion, the elaboration of proposals, a working procedure for collective decision making regarding orientations (choice of partners, projects to be supported, geocultural choices, methods, tools, and so on). Organize these procedures on the basis of lines, themes, and socioprofessional networks that are easier to identify.
- In the framework of the Constituent Charter and in compliance with the CSMG, organize: * regular, decentralized meetings open in priority to persons for whom it is difficult to participate, in particular via the Web site; * a permanent e-discussion list to design and develop themes and fields of action not backed by the FPH.
- Fractalize the Alliance by organizing "small Alliances" at local scales (a country, a region of the world, a continent).
- Reinforce the territorial rooting of the Alliance.

Funding of the Alliance

- Propose a procedure, with means and methods, to enable joint-fund raising. Objectives:
- Reinforce (the autonomy and the area of action of) the Alliance as a system of governance and a process for governance.
- Reinforce in a transparent way the relations between Allies and fund providers (FPH, other foundations, international alliance of small donors, "Ally solidarity taxes" among the different projects), relations based on a previously established decision-making procedure.
- Support the FPH in its determination to back as a priority the institution of the governance of the Alliance.

Relations between Allies and the Alliance and among Allies

- Include a principle of responsibility for the launching of information and initiatives.
- Commitment of the members of the network to share information/experiences must be stipulated in the Charter.
- Specify the qualities of an Ally or the objectives of partner organizations. Offer the possibility to know one another better.

- First produce a complete inventory of the Alliance: number of active members, from which countries, which partner or member institutions, which activities, where (on which subjects, workshops, actions) the Alliance is present
- Plan procedures for a categorized involvement depending on the nature and the intensity of interaction that Allies propose.
- Reinforce collaboration among the different workshops and work groups of the Alliance.

Annals, Communication, Assessment

- The Annals should constitute a true added value to the memory/records of the Alliance and not just be linear activity reports.
- Define who will coordinate the editorial group of the Annals, how the group will work, how it will collect the content, and how exhaustively.
- The Constituent Charter could specify how Allies’ actions will contribute to the development of the Alliance, and how the Alliance will contribute to Allies’ actions. It could propose a number of performance indicators to evaluate these mutual contributions.
- Guarantee that an action claiming the Alliance as its reference should not be implemented simply to confer personal advantages to whomever implements it.
- Evaluate the value of the experience in itself (theoretical and/or practical contribution, reinforcement of citizens’ actions, etc.).
- Define the conditions and assessment tools that will guarantee (before, during, and after the action) the contribution of the action to the common objectives (promotion of collective tools, circulation of information on the work of others, etc.).

Logo and Rules for Initiatives to Be Considered As Alliance Initiatives

- Specify the nuances between reference texts and working or operation texts, and further specify how to use the logo of the Alliance
- Lengthen the period of submission of an initiative before it is launched or refused.
- Circulate the proposals for initiatives by e-mail.
- Specify how an initiative is refused. Consider explicit support by two or three members for an initiative to be co-opted.
- Plan solidarity for a member who might run into problems in an initiative that he or she might have taken.

CSMG and Other Follow-up Groups

- Criteria for the composition of these groups: * inclusion of a person from the FPH in the CSMG to guarantee the Foundation legacy; * attach to the CSMG and the other groups one or several persons with no financial connection to the FPH in order to guarantee the autonomy of the Alliance.
- Criteria for group transparency: the groups and workshops of the Alliance make their work and deliberations public to the best of their possibilities. In the Web site, a section can be opened to publish the groups’ progress reports.
- Replace co-option with a democratic procedure for the renewal of the members of the CSMG.
- Increase the number of members of the CSMG to increase its geo-socio-cultural representativeness.

Calendar

- Achieve consistency between the rhythms, cycles, and deadlines of the Alliance and the Allies and the very diverse local rhythms.
- Assess the strategic lines proposed every other year before they are renewed.
- The calendar should be more attentive to the major political, economic, and social events that will be federating the construction of the planet.

External Relations

- Periodically approach, through a manifesto, global-governance institutions (depending on the case).
- Work on procedures to form alliances with other institutions (multilateral, governments), companies, or social movements that, for one reason or another, might hesitate to get completely involved in the Alliance. Find how to "make an alliance" with them on limited objectives with appropriate procedures and working areas.
- Do some thinking on how to circulate information. Set up an information and communication cell that can increase the value of Alliance initiatives, members, and their "social intentions."

Answers to Board Recommendations of June 14

Alliance Inventory

This part, in an appendix, attempts to establish the most complete list possible of Alliance actions: workshops, publications, collective working process (forums, elaboration of proposals, etc.), tools, methods, meetings, etc., existing or having existed thanks to, for, and with the Alliance. Not available when this report is being drafted, it will be provided to Board Members by October 17.

Geographic Distribution of Participants
Europe: 51%
Africa: 25%
South America: 10%
Central America: 4%
North America: 3%
Asia-Oceania: 7%
Middle East: less than 1%

The geographical distribution of the questionnaires, which would allow the calculation of the rate of answers per geographical zone, is not available at the drafting of this report.

Lille 2001

About 10% of those who participated in the consultation were in Lille. For many among them it is a reference, a symbolic event experienced as exemplary.

A Space Devoted to Testimonies

A section for testimonies will soon be available on the Alliance Web site. Inviting free prose, it will also propose, with no obligation, a few reference points to guide the testimonies in order to facilitate their evaluation of these. A series of optional questions is being drawn up. Its latest version is:

Last name, First name
Age
Where you are from
Where you reside
An Ally, since when?
Activity within the Alliance
Main contacts/partners/collaborators in the Alliance
How did you discover the Alliance?
Can you describe what motivates your participation in the Alliance?
How do you place the Alliance in the political, philosophical, social, humanist, etc. landscape that you imagine?

Thoughts of the Consultation Facilitation Team on the Rules for Initiatives to be Considered as Being Alliance Initiatives: Ethical and Technical Aspects

There was some discussion within the Consultation Facilitation Team on the mechanisms for the publication, discussion, and (non-)validation of initiatives requesting the Alliance label. Considerations dealt with the efficiency of the mechanism, its relevance, its technical implementation, and guaranteeing its ethics. The result of this discussion follows in the form of a procedure (with comments), not completely finalized, which will be operational in the relative short term.

Reminder of the “principle of previous information: any Ally who wishes to take an initiative in the name of the Alliance is held to presenting it on the Web site and showing that the project complies with the Constituent Charter. Agreement of the other Allies is considered as obtained if there has been no motivated objection in the month following the publication of this information on the Web site.”

The proposed procedure is: * Open a "New Proposals" section * Present a form to be filled out: * Last name, first name, e-mail, who are you? * Introduction of the project with attachments if necessary. * Contacts of people wishing to participate in the project.

- As a result of the form filled out, a page presenting the above information with a reminder of the principles of the Charter.
- Possibility, on the same page, for anyone to give his/her opinion and to vote for or against the project as an Alliance project (if someone wishes to speak of it on the general e-discussion list of the Alliance, he/she will launch the discussion him/herself).
- Possibility of signing up as someone interested in the project.
- Number of days left before the decision is made to launch the project or not.
- All of this in one or several languages.

A link to the New Proposals section will be on the home page and all new projects will be presented in the newsletter What’s New? (or this latter will always contain the suggestion to visit the New Proposals section). It can be explained here and there (in the above-mentioned section, on the home page of the Alliance Web site, in the newsletter, etc.) that the rule is, for instance: a proposed initiative is set aside to be placed on line at a fixed date (in order to make up for possible variations in the date of release of the "What’s new?" newsletter). If the project is accepted, it is given a place in the most appropriate section of the Web site . If it is not accepted, it remains in the records of the "New Proposals" section, but there is no further possibility of voting on it. In any case, all the projects remain in the section, which comprises three parts: current proposals, accepted projects (with a link to the page presenting its follow-up), rejected projects.

Possible problems that were highlighted, questions that were not resolved during the discussion:
- Possibility of too many solicitations of all kinds, difficult to manage, in particular by the team in charge of the Web site.
- A concern to adapt the procedure as best as possible to the principles of the Charter.
- Risk of falling into the digital divide present in the Alliance as elsewhere.
- Risk of setting up a procedure that is not equitable depending on whether or not one is already in a more-or-less close relationship with the Alliance, Allies, or the FPH.
- Is the role of the Web site to indicate a new proposal in order to raise interest and discussion on it, and contacts for it, or to get more deeply involved in Alliance labeling (or its refusal)?
- Should the Alliance, through its Web site, merely propose some form of attention to the project initiator or should it adopt a more centralizing stance to the detriment of autonomy and flexibility?
- Does the CSMG (which does not yet exist) include in its vocation to be systematically called upon in case of some form of blockage?
- How can we make sure that the project initiator is not just coming to look for a logo, a label: require him or her to present the reasons for his/her/ wish to put the project under the Alliance umbrella, make sure he/she has an active relationship with one or several Allies/Workshops, make sure that with his/her project, he/she will really contribute to the collective work of the Alliance?

In conclusion, the team would like to set up a light organization structure (with a minimum of computer development and procedures to follow) to offer as quickly as possible a place where these projects can be presented and fruitful contacts between project initiators and possible collaborators can be made.

Personal note: my first steps in the Alliance as facilitator of this consultation was a great pleasure. The "site 21" team has been largely responsible for this pleasure. Finally, it was exciting and rewarding to get an overview, from a privileged vantage point, of the number and diversity of persons, Allies or friends of the Alliance, who are working all over the world ... I deeply hope that this reporting work will have contributed to the evolution that the Alliance wishes for itself.

0 reaction(s) |

... Your answers to the questionnaire
| 6 December 2005 | fr |

Une synthèse des synthèses.

Remarques.
- Au moment de la rédaction de ce rapport, le nombre définitif de réponses est inconnu. Il sera très proche de 320. A noter que la Chine n’aura pas pu participer à cette consultation.
- Les pourcentages de réponses sont donnés par rapport au nombre total de réponses.
- Dans la suite, l’acronyme GAM désigne le groupe d’accompagnement et de médiation garant de la charte constitutive.
- Les parties en italique ne proviennent pas des réponses mais d’une certaine interprétation de ces réponses et expriment ainsi un ressenti personnel du rédacteur de ce rapport.

Sur l’idée d’Alliance.
50% de réponses : cette question fut d’abord posée aux non alliés. Puis (à partir du 27/07/05) toute personne ayant répondu directement en ligne a pu s’exprimer sur ce point. Ceci explique le faible nombre de réponses à cette question.

L’idée d’Alliance est en adéquation avec le ressenti des participants. La plupart expriment la nécessité et l’urgence, pour eux-mêmes et/ou pour d’autres, de se rassembler, de s’interconnecter, pour travailler à l’émergence d’alternatives à l’évolution du monde. Pour beaucoup, l’interdépendance des problèmes renvoie immanquablement à la nécessité de les traiter ensemble. Le questionnaire a demandé aux participants si les valeurs et causes défendues par le projet de l’Alliance étaient bien les leurs. Ils ont répondu oui ! ``Comment ne pas être d’accord...’’ pensent beaucoup de participants.

Au-dela de cette importante unanimité et indépendamment de la richesse et de l’enthousiasme des réponses, ils sont très nombreux à avoir laissé l’impression de témoigner plutôt brièvement (hâtivement?) et plutôt depuis leur ``pas de porte’’. Sans information précise sur le degré d’implication dans (et donc d’intimité avec) l’Alliance des participants alliés - on observe néanmoins que les réponses les plus denses proviennent de personnes étant ou ayant été fortement impliquées dans l’Alliance -, sans rien savoir sur leur désir de s’exprimer ou pas en détail, et sans tenir compte des style et format du questionnaire qui conditionnent forcément les style et format des réponses, il est difficile d’expliquer que peu d’entre eux ont pris soin de témoigner d’une vision, d’une conception de l’Alliance, d’une relation à l’Alliance qui traversent les échelles, appréhendent la complexité d’une telle organisation, abordent la question de l’équilibre entre unité et diversité et s’approprient les défis et enjeux d’une idée comme celle de l’Alliance.

Sur l’esprit de la charte.
100% de réponses.
Quasi unanimité sur les constats, les objectifs, l’éthique, les valeurs, la vision du monde et son évolution souhaitable que le texte propose. La perspective d’une nouvelle étape, promesse de nouvelles énergies, réjouit beaucoup d’alliés. Si la question posée était : l’Alliance, stop ou encore ? La réponse est : encore !! Des propositions, des désaccords, des questions surgissent lorsqu’on aborde plus en détail la question de la nature de l’Alliance, de son rôle, de ses dispositifs de travail, de l’organisation de son action, de sa gouvernance. Voir les sections suivantes.

La charte, et plus exactement le projet de charte, qu’il soit perçu adapté, consensuel et opératoire ou flou, orienté et à (re)discuter, est très bien accueilli car il rencontre le désir palpable chez la plupart de doter l’Alliance d’une structure et de règles lui permettant de grandir. L’attachement à l’Alliance, son caractère précieux au coeur des participants est tout à fait perceptible tout autant dans les propositions ou critiques faites que dans les propos plébiscitaires.

Sur les dispositifs de travail.
45% de réponses.
Quelques redondances peuvent exister entre le contenu de cette partie et celui de la section consacrée aux propositions.

Cette section privilégie les points que les réponses semblent situer en amont de tout ce qui fait débat à propos des dispositifs de travail (voir par ailleurs la partie consacrée aux propositions). Les points fondamentaux abordés ci-après concernent les relations profondes qu’il doit y avoir entre la nature de l’Alliance, ses objectifs et ses dispositifs de travail. Ils concernent aussi les relations entre éthique et dispositifs de travail. Enfin il faut souligner que nombreux sont les participants ayant besoin d’aborder séparément les dispositifs de travail dédiés à la gouvernance de l’Alliance et les dispositifs de travail attachés aux programmes de travail et à la stratégie.

Des réponses expriment une difficulté de lecture, de compréhension (de l’organisation) du texte : on note un besoin de spécifier à quoi se réfère le terme "dispositifs" et séparer plus clairement les objectifs des dispositifs en décrivant chacun d’eux. Ces derniers ne sont-ils pas finalement à la fois les mécanismes, méthodes, outils, fonctionnements, qui permettent d’atteindre des objectifs donnés ? On note aussi un besoin de réfléchir auparavant aux objectifs de ces dispositifs. On se demande si les objectifs des dispositifs doivent correspondre à l’ensemble des objectifs de l’Alliance ? Par exemple, est-ce que le développement de mécanismes de prise de décisions qui mène à l’action concrète sur le terrain, doit être considéré comme un objectif de l’Alliance ? Si c’est le cas, il est proposé d’ajouter à la liste d’autres dispositifs ou méthodologies spécifiques à un tel objectif.

Sur les relations de l’Alliance avec l’extérieur : deux questions fondamentales surgissent explicitement ou en filigrane (au travers de la diversité des motivations alliées par exemple). D’abord est-ce que l’Alliance est un lieu de ressources mutualisées ou une base de militance ? La réponse à cette question conditionne le choix des dispositifs de travail. A la lecture des réponses on peut se demander si les alliés ont tranché cette question. Certains semblent chercher une voie intermédiaire en cherchant des modalités d’alliance avec d’autres institutions, entreprises ou mouvements sociaux qui, pour une raison ou une autre hésiteront à s’impliquer complétement dans l’Alliance. Comment pour autant faire alliance avec eux sur des objectifs plus limités avec des dispositifs et espaces de travail appropriés ?

On dirait que les alliés, se sachant riches de leur diversité et de la diversité de ce que l’Alliance peut offrir, souhaitent que cette même Alliance diversifie ses interlocuteurs, ses partenariats et fasse de son adaptabilité ``aux autres’’ la qualité complémentaire de son unité.

En parallèle, une autre interrogation : le caractère informel de l’Alliance lui donne t-il de la force ou au contraire entrave t-il son développement et son efficacité ? Les avis sont partagés.

Sur la nécessité de se doter d’outils d’évaluation : la plupart sont convaincus que les enjeux concernant les dispositifs de travail reflètent les défis que se donne l’Alliance : besoin de procédures de haute qualité pour le management de la complexité, de l’intelligence collective, de la capitalisation de l’expérience, de l’élaboration des stratégies. En écho, des réponses soulignent l’importance de l’évaluation du travail accompli : garantir que l’action ait un apport positif à la réalisation des objectifs communs. Evaluer la valeur de l’expérience en soi (apport théorique - pratique, renforcement des actions citoyennes, ...). Définir, au préalable, des conditions qui garantissent - autant que possible - la contribution de l’action aux objectifs communs (promotion d’outils collectifs, diffusion d’information sur le travail des autres, ...)...

Sur la collégialité et l’interactivité des processus de décision et d’élaboration de propositions : les réponses traduisent un besoin de renforcer les synergies, les possibilités de collaborations, les interactions tranversales voire transdisciplinaires. On constate une demande de dispositifs facilitant l’émergence "d’alliances locales" ou de "projections géographiques locales de l’Alliance".

Sur l’éthique de la gouvernance de l’Alliance : le groupe d’accompagnement et de médiation tient une place particulière dans les préoccupations exprimées des alliés. On a déjà évoqué le problème du nombre de membres (vu trop faible) et de leur représentativité géo-culturelle. Il existe des interrogations quant au fonctionnement de ce groupe, au choix de ses membres, à leur renouvellement. En amont de ces aspects et au-dela de ce qui concerne strictement le groupe garant de la charte, une question semble importante pour certains alliés : pourquoi ne pas confronter des analyses d’experts contradictoires, qui permettent d’identifier très vite non seulement les points de convergence et de divergence, mais aussi les raisons et les référentiels à l’origine des divergences ? Pour ces participants, il importe dans un projet reposant sur certains principes éthiques d’être au clair sur les limites de validité éthique de cette entreprise, toute position éthique ayant ses limites, qu’il faut préciser.

Sur les relations inter-alliées : tout le monde s’accorde sur un fait : les sites web de l’Alliance sont absolument centraux, au point de se confondre presque avec l’Alliance. Aussi, nombreux sont ceux qui veulent dire que l’Alliance ne se résume pas à son site et qu’il est indispensable de maintenir et développer des relations en dehors du web.

Que soient évoqués le plaisir des rencontres, le ressenti d’une identité commune, la force symbolique d’un rassemblement (on pense à Lille 2001), l’efficacité dans le travail que permettent des relations de proximité, le souhait que l’Alliance encourage et favorise ces dernières est largement partagé. Mais rien n’est dit sur comment encourager et favoriser ces relations directes. Se retrouver à plusieurs a un coût. Et là on ne sait plus très bien si les alliés parlent à l’Alliance ou à un bailleur de fonds.

Sur le calendrier.
40% des réponses.
Vu comme un agenda, un horizon, il plait. Vu comme une liste de tâches à effectuer selon un échéancier précis, il est souhaité plus explicite et en meilleure cohérence avec d’autres calendriers extérieurs à l’Alliance.

Sur les intentions de participer.
100% des réponses.
La fidélité et l’engouement sont à l’honneur ! Tous souhaitent poursuivre l’aventure et on totalise près de 600 déclarations d’intentions (cumulées) de participer aux divers groupes et comités de suivi de la charte.

Sur le nombre de réponses.
La consultation totalise environ 320 réponses. C’est en-dessous des objectifs souhaités. Des relances ont été faites. On peut s’interroger sur leur efficacité, sur la communication autour de cette consultation en général, sur la réactivité des alliés et leur désir d’être partie prenante de cette réflexion préalable à une phase importante de l’évolution de l’Alliance.

Un inventaire des propositions.

Cet inventaire reprend la synthèse numéro six.

Charte constitutive : texte et évolution du texte.

- Le texte doit gagner en lisibilité (concision). Une version courte devrait étre développée.

- Lever l’ambiguité dans le texte entre dispositifs et objectifs.
Dispositifs : mécanismes, méthodes, outils, fonctionnements, annales, annuaire, synthèses régulières trimestrielles, banques d’expérience, site web, règles selon lesquelles une initiative peut se recommander de l’Alliance.
Objectifs : les cinq points évoqués dans le texte.

- Objectifs : devraient distinguer ce qui est du ressort de la gouvernance de l’Alliance de ce qui est du "programme de travail" des alliés.

- Préciser comment est financé le site web et ceux qui s’occupent de sa maintenance. Préciser également la structure du site. Préciser les fonctions des différents groupes et comités.

- Assigner des niveaux de priorité aux cinq objectifs :
niveau 1 :
1. définir la gouvernance.
2. financer le futur développement de l’Alliance.
niveau 2 :
3. structurer les relations et les débats.
niveau 3 :
4. développer les méthodes de travail.
5. construire la mémoire.

- Calendrier : Les cinq axes de travail devraient être traités plutôt dans les dispositifs de travail.

- Le texte mérite d’étre simplifié afin de parler au plus grand nombre. Partir de "Pluriel, responsable et solidaire" : ce sont ces trois mots qui doivent uniquement être explicités afin de donner une image claire du "monde que nous choisissons".

- Maintenir une liste électronique de discussion sur la Charte constitutive. Objectifs de cette liste :
1. Une fois la charte approuvée et en vigueur, les participants de cette liste vont la réviser point par point, pendant un période à déterminer, en fonction des ambiguités actuelles et des futures expériences et conflits d’interprétation.
2. A la fin de cette période, la version définitive de la charte est proposée à nouveau en consultation aux alliés. Si elle est acceptée, le GAM sera garant du texte modifié.
3. Les participants de la liste interagissent en permanence avec le GAM.
4. Une autre possibilité : cette tâche peut être attribuée directement au GAM, à condition qu’il soit élargi et que ses discussions autour de la révision de la charte soient publiques.

- La définition qui est donnée d’une ``alliance citoyenne’’, dans l’introduction ne doit pas porter seulement sur le caractère ``international’’ de ces processus collectifs. Cette forme d’organisation sociale peut se reproduire à l’échelle locale. Une telle dynamique devrait être encouragée.

- Préciser si les dispositifs et le calendrier font partie de la charte.

- Rebaptiser la section ``objectifs’’ en quelque chose comme ``constats et engagements’’ qui lui correspond mieux.

Architecture, gouvernance de l’Alliance.

- Entre d’un coté l’autonomie de décision des différents groupes de travail et chantiers, et de l’autre coté les avis, recommandations, décisions du GAM, il semble y avoir de la place pour intensifier le développement des outils participatifs permettant l’implication des alliés : espace commun de débats, d’élaboration de propositions, dispositif de fonctionnement pour les prises de décisions collectives sur les orientations (choix des partenaires, des projets à appuyer, choix géoculturels, méthodes, outils...). Organiser ces dispositifs sur la base d’axes, de thématiques, de collèges mieux identifiables.

- Dans le cadre de la charte constitutive et en conformité avec le GAM, organiser :
- des rencontres régulières, décentralisées et offertes prioritairement aux personnes ayant des difficultés à participer, notamment via le site web.
- une liste de discussion permanente pour concevoir et développer des thèmes et domaines d’action non soutenus par la FPH.

- Fractaliser l’Alliance en organisant des "petites Alliances" aux échelles locales (un pays, une région du monde, un continent).

- Renforcer l’ancrage territorial de l’Alliance.

Financement de l’Alliance.

- Proposer un dispositif, avec des moyens et méthodes, pour rendre possible la recherche de co-financements.
Objectifs :
- Renforcer (l’autonomie et la surface d’action de) l’Alliance en tant que système de gouvernance et processus pour la gouvernance.
- Renforcer en transparence les relations entre alliés et financeurs (FPH, autres fondations, alliances internationales de petits bailleurs de fonds, ``taxes alliées’’ de solidarité entre différents projets), relations basées sur un dispositif de prise de décisions collective établi au préalable.
- Conforter la FPH dans sa volonté de soutenir en priorité la mise en place de la gouvernance de l’Alliance.

Relations alliés-Alliance, alliés-alliés.

- Inclure un principe de responsabilité pour ce qui est des lancements d’informations et d’initiatives.

- L’engagement des membres du réseau à partager des informations/expériences doit être stipulé dans la charte.

- Préciser les qualités d’un allié ou les objectifs des organisations partenaires. Donner la possibilité de mieux se connaître les uns, les autres.

- Faire d’abord un état des lieux complet de l’Alliance : combien de membres actifs, de quels pays, quelles institutions membres ou partenaires, quelles activités, où (sur quels sujets, chantiers, actions) l’Alliance est-elle présente ?

- Prévoir des modalités d’engagement gradués en fonction de la nature et de l’intensité d’interaction que les alliés peuvent proposer.

- Renforcer les collaborations entre les différents chantiers et groupes de travail de l’Alliance.

Annales, communication, évaluation.

- Les annales devront constituer une réelle valeur ajoutée à la mémoire de l’Alliance et pas seulement des rapports d’activités linéaires.

- Définir qui coordonnera le groupe de rédaction des annales, comment le groupe travaillera, comment il récoltera le contenu avec quelle exhaustivité ?

- La charte constitutive pourrait préciser comment les actions alliées vont contribuer au développement de l’Alliance, et comment l’Alliance contribuera aux actions alliées. Elle pourrait proposer un certains nombres d’indicateurs de performance évaluant ces contributions mutuelles.

- Garantir qu’une action se réclamant de l’Alliance ne soit pas réalisée, tout simplement, en vue de conférer des avantages personnels à son réalisateur.

- Evaluer la valeur de l’expérience en soi (apport théorique - pratique, renforcement des actions citoyennes, ...).

- Définir des conditions et des outils d’évaluation qui garantissent (avant, pendant et après l’action) la contribution de l’action aux objectifs communs (promotion d’outils collectifs, diffusion d’information sur le travail des autres, ...).

Logo et règles sur les initiatives considérées comme alliées.

- Préciser les nuances existant entre textes de référence et textes de travail, ou de fonctionnement, et spécifier plus largement comment utiliser le logo de l’Alliance.

- Allonger la période de présentation d’une initiative avant qu’elle soit lancée ou refusée.

- Diffuser les propositions d’initiatives par mail.

- Préciser comment une initiative est refusée.

- Envisager un soutien explicite de chaque initiative par deux ou trois membres pour que celle-ci soit cooptée.

- Prévoir une solidarité envers un membre qui serait en difficulté par rapport à une initiative qu’il aurait prise.

Le GAM et les autres groupes de suivi.

- Critère de composition des groupes :
- assurer la présence d’une personne de la FPH dans le GAM pour garantir l’héritage de la Fondation.
- adjoindre au GAM et autres groupes une ou plusieurs personnes sans lien financier avec la FPH pour garantir l’autonomie de l’Alliance.

- Critère de transparence des groupes : les groupes et les chantiers de l’Alliance rendent publics leurs travaux et délibérations, dans la mesure de leurs possibilités. Dans le site web une rubrique peut être ouverte pour rapporter les progrès des groupes.

- Substituer à la cooptation une procédure démocratique de renouvellement des membres du GAM.

- Augmenter le nombre de membres du GAM pour augmenter sa représentativité géo-socio-culturelle.

Calendrier.

- Mettre en cohérence les rythmes, cycles et échéances de l’Alliance et des alliés aux rythmes locaux très variés.

- Evaluer avant renouvellement les axes stratégiques proposés tous les deux ans.

- Le calendrier devrait être plus attentif aux grands événements politiques, économiques, sociaux qui vont fédérer la construction de la planète.

Relations extérieures.

- Toucher périodiquement, par un manifeste, les institutions (selon les cas) de la gouvernance mondiale.

- Travailler sur les modalités d’alliance avec d’autres institutions (multilatérales, gouvernements), entreprises ou mouvements sociaux qui, pour une raison ou une autre hésiteront à s’impliquer, complètement dans l’Alliance. Trouver comment ``faire alliance’’ avec eux sur des objectifs plus limités avec des dispositifs et espaces de travail appropriés.

- Mener une réflexion sur le ``faire savoir’’. Mettre en place une cellule d’information et de communication, capable de valoriser les initiatives, les personnages, les "intentions sociales" des Alliés.

Les réponses aux recommandations du conseil du 14 juin.

L’inventaire allié.

Cette partie, en annexe, tente une liste la plus complète possible des actions alliées : chantiers, publications, processus de travail collectif (forums, élaborations de propositions, etc), outils, méthodes, rencontres, etc, existant ou ayant existé par, pour, avec l’Alliance.

Non disponible au moment de la rédaction de ce rapport, elle sera fournie aux membres du conseil pour le 17 octobre.

La distribution géographique des participants.
Europe : 51%
Afrique : 25%
Amérique du Sud : 10%
Amérique Centrale : 4%
Amérique du Nord : 3%$
Asie-Océanie : 7%$
Moyen-Orient : moins de 1%

La distribution géographique des envois de questionnaires (permettant de restituer un taux de réponses par zone géographique) est une information non disponible à ce jour.

Lille 2001.
Environ 10% des participants à la consultation étaient à Lille. Parmi eux, beaucoup en font un événement de référence, symbolique et vécu comme exemplaire.

L’espace dédié aux témoignages.
Cet espace sera bientôt disponible sur le site de l’Alliance. Invitant à une prose libre, il proposera aussi mais sans aucune obligation quelques jalons qui guideront les témoignages en vue de faciliter une évaluation de ceux-ci. Une série de questions facultatives est en cours d’élaboration. La dernière mouture est la suivante :

Prénom, Nom
Age
Lieu d’origine
Lieu de vie
Allié(e) depuis combien de temps ?
Activité au sein de l’Alliance
Principaux contacts/partenaires/collaborateurs dans l’Alliance
Comment avez-vous découvert l’Alliance ?
Pouvez-vous décrire ce qui motive votre participation à l’Alliance ?
Comment situez-vous l’Alliance dans le paysage politique, philosophique, social, humaniste, etc, que vous vous figurez ?

Réflexions de l’équipe d’animation de la consultation concernant les règles pour les initiatives considérées comme alliées : aspects éthiques et techniques.
Des échanges ont eu lieu au sein de l’équipe d’animation de la consultation au sujet des mécanismes de publication, discussion et (in)validation des initiatives réputées alliées. Cette réflexion a porté à la fois sur l’efficacité du mécanisme, sa pertinence, sa mise en oeuvre technique et sur la garantie de l’éthique. Le résultat de ces échanges est restitué ci-après sous forme d’une procédure (assortie de commentaires) pas totalement finalisée et qui sera opérationnelle dans un délai assez court.

On rappelle "le principe d’information préalable : Tout allié qui veut prendre une initiative se recommandant de l’Alliance est tenu de le signaler sur le site web en exposant la conformité de son projet avec la Charte constitutive. L’accord des autres alliés est réputé acquis s’il n’y a pas eu d’objection motivée dans le mois suivant la publication de l’information sur le site web."

La procédure proposée est la suivante :

* Création d’un rubrique "Nouvelles Propositions". * Remplissage d’un formulaire :
- Nom prénom, email, qui êtes-vous ?
- Présentation du projet avec pièces jointes si nécessaire.
- Contacts des personnes souhaitant participer au projet. * En résultat, une page présentant les données ci-dessus avec un rappel des principes de la Charte. * Une possibilité de donner son avis et de voter pour ou contre sur cette même page (si quelqu’un veut en parler dans la liste alliance, il lancera le débat de lui-même). * Une possibilité de s’inscrire comme intéressé par le projet. * Nombre de jours avant la décision de lancer le projet ou pas.

Le tout dans une ou plusieurs langues.

Un lien vers cette rubrique "Nouvelles propositions" sera fait dès la page d’accueil et tous les nouveaux projets seront présentés dans le Quoi de neuf (ou bien ce dernier pourra toujours contenir un avertissement conseillant d’aller visiter la zone "Nouvelles propositions"). On peut expliquer ici et là (ladite zone, la homepage Alliance, le QdN, etc) que la règle est par exemple : une initiative proposée est stockée en attente d’une mise en ligne faite à date fixe (ceci pour pallier d’éventuelles variations de date de parution du Quoi de Neuf). Si le projet est accepté, on ouvre une section le concernant dans la partie du site la plus appropriée. S’il n’est pas accepté, il reste comme archive dans la rubrique mais il n’y a plus de possibilité de vote dessus. Tous les projets restent de toutes manières dans la rubrique, qui comprend trois parties : propositions en cours, projets acceptés (un lien vers la page présentant les suites est donné), projets refusés.

Problèmes éventuels soulignés, interrogations non résolues au cours de la discussion :
- Risque d’un trop grand nombre de demandes de toute sorte, difficilement gérable, notamment par l’équipe en charge du web.
- Souci d’adapter la procédure le mieux possible aux principes de la charte.
- Risque de chevaucher la fracture numérique présente dans l’Alliance comme ailleurs.
- Risque de mettre en place une procédure pas toujours équitable selon que l’on soit déjà ou pas en relation plus ou moins étroite avec l’Alliance ou des alliés ou la Fph.
- Le rôle du web est-il de signaler une nouvelle proposition pour susciter intérêt, rencontres et discussions ou de s’investir plus profondément dans sa labellisation (ou son refus) ?
- L’Alliance, via son site, doit-elle simplement proposer une écoute au porteur de projet ou doit-elle adopter une posture plus centralisatrice au détriment de l’autonomie et de la souplesse ?
- Le GAM (qui n’existe pas encore) a t-il vocation à être interpelé systématiquement en cas de blocage ?
- Comment s’assurer que le porteur de projet ne se contente pas de venir chercher un logo, un label : lui demander d’exposer les raisons de son désir de se mettre sous l’ombrelle Alliance, s’assurer qu’il est en relation active avec un ou plusieurs alliés/chantiers, s’assurer que par son projet, il contribuera réellement au travail collectif de l’Alliance ?

En conclusion, l’équipe souhaite la mise en place rapide d’une structure légère (avec un minimum de développement informatique et de procédures à suivre) pour offir le plus vite possible un lieu d’exposition de ces projets et des mises en relation fructueuses entre porteurs de projets et collaborateurs éventuels.

Note personnelle : faire mes premiers pas dans l’Alliance comme animateur de cette consultation fut un grand plaisir. Et l’équipe site21 est grandement responsable de ce plaisir pris. Ce fut enfin enthousiasmant et enrichissant d’entrevoir depuis un poste d’observation privilégié le nombre et la diversité des personnes, alliés ou amis de l’Alliance, qui oeuvrent de par le monde... Je souhaite profondément que ce travail de reporting contribue à l’évolution que l’Alliance désire pour elle-même.

0 reaction(s) |

 

 

 

Answers to the questionnaire are posted in their original language. If necessary, you can use one of the machine-translation programs available on the Internet.


OTHER PEOPLE'S ANSWERS
Anonyme 5 |fr|
Cuauhtemoc CARDENAS, México |en|
Manuel BAYONA SARMIENTO, Non allie. Colombia |fr|
Pedro GARCIA, Aliado, Brazil |es|
Jules Dumas NGUEBOU, Allié. Cameroun |fr|
Simone CHATEAUVIEUX, France |fr|
Sibusiso M. E. BENGU, South Africa |en|
Mujtaba KUSHERKI, Allie. Nigeria |en|
Siad REDOUANE, allié, Algérie |fr|
Spéro hector ACKEY, Allie. Benin |en|
Pierre SICARD, Allie. France |fr|
Roger GODINO, France |fr|
Edith SIZOO, Alliée, France |fr|
Founé SANGARE, Alliée, Mali |fr|
Antoine MARTIN, Allié. France |fr|
Eric EMERY, allié, Suisse |fr|
Conrad SYIEM, Allie. India |en|
Laxman BHOLE, India |en|
Innocent IB AM, Non allie. Gambia |en|
François MARCHAND, France |fr|

All the answers

 

- Alliance for a Responsible, Plural and United World -
- Charles Léopold Mayer Foundation for the Progress of Humankind -