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Le sourire de Bouddha
sur le corps de Marx
par Susanna GENDALL
Bien que les énoncés initiaux
se transforment en clichés sous nos yeux, aujourd'hui
est un jour de progrès et d'illuminations. Les soupçons
souterrains sont révélés et mènent
à d'inspirants éclaircissements sur nos positions
dans ce processus.
Je savais que tu étais là...
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Edith nous ramène à la terre,
à l'importance de la conscience et de l'action pratique
dans nos propres mondes - "Les vérités
simples mènent à la prise de conscience d'autres
rapports". C'est seulement dans notre propre environnement
et réalité que nous pouvons vraiment comprendre
les conséquences de nos actions et de nos modèles
de pensée. La nature du monde, i.e. des tendances
à l'euphémisme et leur dangerosité
pour les perceptions abstraites que nous avons de nos propres
réalités. Edith parle de ces vaches qui sont
tuées, et ce n'est pas le mot que nous entendons,
on doit dépasser le monde des images et des mots
qui glissent si facilement.
Mais Jeanne nous rend humbles avec son
expérience de travail auprès des enfants (c'est
dans ces histoires que nous percevons le rapport), leur
conscience instinctive, gracieuse, naturelle de la la nature
inter-reliée du monde. Elle parle de cet enfant qui
voit un peu de soleil à travers un tas de poussière
: "Je savais que tu étais là", dit-elle.
Un sentiment quece sont ceux-là que nous devrions
regarder.
Si ce n'était pas par espoir
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La discussion de l'après-midi apporte
d'autres voix. Makarand parle du besoin de "globaliser
l'espoir", mais cette voie étroite est à
nouveauéclairée, car l'espoir ne doit pas
non plus nous faire illusion : "Si ce n'était
par espoir, l'agneau ne lècherait pas la main qui
était venue pour verser son sang" (Dr Shiva
Shankar).
La question de nos positions de "petits
bourgeois" en rapport avec ceux qui luttent, pour la
vie et pas seulement avec leur propre esprit, etc. Unéclaircissement
de l'importance d'unir le concret et l'abstrait, que cela
arrive mieux ou de façon plus pénétrante
à travers sa propre expérience, etc
Plus proche du sujet
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Le conflit est rafraîchissant et
maintient le courant : "nous devons nous démystifier".
Le danger des images tout autour de nous, à la télévision,
dans les journaux, dans les conférences : l'issue
est dans ces points de rupture. La question de notre position
et de celle des moins privilégiés :"la
déconnexion entre nos débats et leur réalité".
Des débris de critique religieuse qui sonne comme
personnelle à quelques systèmes de défense,
mais qui rend les choses plus proches du sujet.
La soirée est détendue, nous
buvons de la sangria, musique. Comme si nous avions évolués
à travers l'étrange, et c'est plus clair,
et même passionnant.
- Depuis l'Ashram Fireflies, près
de Bangalore, Inde, Asie, le 23 Juin 2001
- Rencontre Continentale Asiatique
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